Le long voyage de Sù

En effet, la fée n'avait pas bougé. Il continuait de fixer Slaim. Attendant toujours. Il n'avait qu'écouter la discution qu'il avait entreprit avec la fille. Une discution qui ne menait à rien, et qui le sortait de l'action. Slaim était le seul à s'amuser. Phoenix, lui, écoutait.
Il sentit Feal se cacher près de lui. Mauvaise idée... Il allait sûrement devoir bougé bientôt. Il l'entendait frissonner d'effroi. Trembler. Un peu. Il n'aimait pas le rôle qu'elle venait de lui confier. Il n'était pas un protecteur. Seulement un prenneur.
Ses déceptions furent interrompu par le rire de son ami. Il ne broncha pas. Préférant se concentrer plutôt que d'y croire. Les cris vinrent. Phoenix soupira bruyament. Pas assez pour surpasser les hurlements agonnisant, mais assez pour être entendu.
Il affichait une mine déçue. Une autre.
-Slaim... combien de fois faudra-t-il te le dire? Utilise les bons mots! Si tu veux les libéré de leurs souffrances, il faudrait peut-être précisé quelles souffrances. Tu ne crois pas? Parce qu'au son, tu en causes plus qu'autre chose. Tu aurais pu dire de leur peur ou de leurs tourments. Là, il y aurait du sens! Tu devrais prendre ça en compte, parce que c,est irritant à la fin. Moi j'en peux plus de toujours tout t'expliquer. Va falloir que tu grandisse un jour.
Pointe d'ironie. Seule chose qu'il n'arrivait pas à contrôler. Le reste se cachait sous une neutralité presque parfaite.
Seule chance désormais, sa vitesse. Seul talent qui surpassait les siens. Rapidité, souplesse, vivacité.

Son corps absorbait chaque particule d’hémoglobine flottante. Il s’était calmé et respirait au rythme des pulsations sanguines qui accouraient vers lui. Il avait entendu Phœnix mais n’avait pas répondu simplement parce que son commentaire était plus qu’inutile à ses yeux. La nuit avançait et bientôt pointerait le jour. Slaim commençait à perdre de son entrain et ses yeux semblait se calmer, mais il restait encore deux ou trois heure avant que tout ne sois vraiment finit et à moins de l’assommer pour se temps il comptait bien en profiter. Les cris se calmait et un silence glacial s’installait, un silence calme comme une tombe. Slaim regardait à présent Fael avec un sourire. Son visage avait prit un aspect plus vivant, plus humain. N’était-ce de la lune qui laissait sa peau luire, personne n’aurait douter qu’il pu être déjà mort.

Il marcha lentement vers Fael en ne tenant pas compte de Phœnix qui n’était pas un ennemi selon lui. Il continua et ne s’arrêta qu’au moment où il fut à porter de dents de celle-ci.

C'était le moment. Slaim avait un genou en terre. Lèvres presque collées contre le cou de la fille. Presque doux. Trop parfait pour ne pas essayer. Pour ne pas réussir.
En un même mouvement, il se laissa tombé, releva le bras. Impossible à suivre. Arrivé à la hauteur du vampire, le vent souffla. Une simple brise. Phoenix avait fait un tour sur lui même. Faisant pivoter son bras jusqu'à l'arrière de la tête. Un souffle. Une seconde. Peut-être moins. L'aiguille s'était figée dans le cervelet. Stoppant tout mouvement. Plus rien ne pu bouger. Même le coeur cessait. Puisque Slaim portait une protection au cou, il n'avait pas le choix de tout arrêter. Complètement. Étant déjà mort, ne plus respirer ne tuera pas son ami.

mais vue quil etait paralyser tout son corps s'éffondra sur fael vue que les dents de celui-ci etait proche de son coups en s'éffondrant elle transpersere la peu de la jeune fille un filet de sang coulais a deux pouce de la figure de slaim grace a lui encore

phoenix tu voulais vraiment provoquer cela. alors aide moi reste pas la avant quil retrouve un peu de se sens tu sais que ses pouvoir son encore actif eu je veux pas mourir tout de suites moi

elle savait quelle etait la gardienne de la nature et quelle ne pouvait mourrir mais pas oubliger de le crier sur tout les toit non. et savait que slaim avait consience de se qui se passait tout autour de lui comme elle avait fait l'experience

Phoenix, maintenant à terre, se redressa. Ne quitta pas Slaim de son oeil orangé, durant un long moment. Pour s'assurer qu'il bougerais pas. Pas un mouvement. Il était tombé comme une marionnette a qui on aurait coupé les fils. L'image lui plut. La fée sourit. Puis il se retourna vers Fael qui commençait à lui parler. Elle avait un air effrayer, un peu de sang dans le cou.
«Je veux pas mourrir tout de suite moi»
Les mots le firent rire. Un rire libérateur. Il avait été trop sérieux. Rire lui fesait du bien, mais s'il le retenait un peu, au cas où son ami se lèverait. Ne jamais rien prendre pour acquis.
-Ne t'inquiète pas. Ce n'est qu'une égratigure. Si tu me le demandes gentillement, je vais t'arranger ça. Et puis pour lui...
Il se pencha sur Slaim, pris sa tête entre ses mains. Avec l'une il lui tenait l'arrière de la tête, avec l'autre il lui ferma les yeux.
-Maintenant il ne peut pas nous voir, il ne peut pas nous sentir, il ne respire plus. Tous ce qu'il peut faire c'est nous entendre. Et Slaim n'est pas mauvais joueur, il triche souvent, mais là... N'est-ce pas, Chéri? De toute façon, le jour va bientôt se lever. Il faudrait aller le mettre dans une des maisons. On va pouvoir dormir avant l'aube. Reprendre des forces. Oui, même toi, grand dada! En attendant, tu pourrais mettre utile. Tu pourrais le tiré dans cette maison là bas? Il y a un lit super-posé pose le sur celui du bas. Moi, je vais prendre quelques provisions pour lui...
Il ouvrit le sac qu'il portait à la ceinture. La fée en sortit quatre petites seringues en verre. Puis il se retourna et se dirigea vers le cadavre le plus proche.

e je voudrais pas gacher ton plaisir mais ta par remarquer que le sang de nos cher amis est tout eparpiller dans les airs encore pour l'instant qu'il y en presque plus dans leur corps

et en plus tu veux que je le trainne jusqua la bas tes singler aussi je suis un demie elfe-fée pas un ogre ou autre. mais si il faut que les filles face tout je peu bien messayer

elle essaya de commencer par le pousser vue quil etait encore sur elle il etait vraiment trop lourd pour elle. elle décida d'utiliser sa magie elle se concentra et réussi a le soulever de quelque centimetre. son niveau énergie etait vraiment bas elle décida de faire vite avant que tout lache arriver dans la maison elle passa la cuisine et le salon mais arriver dans la chambre son pouvoir lacha

zut maintenant il faut le mettre sur le lit tes lours tu le sais sa

en essayant de le lever elle accrocha l'aiguille d'un milimetre mais maintenant slaim pouvait lui parler, ouvrit les yeux, et meme respirer. mais fael ne sens etait pas rendu compte elle le mis sur le lit apres plusieur tentative. apres avoir réussi elle alla sadosser au mur ses jambe lachere et elle sassis par terre adosser au murs

En toute logique, le sang dans l'air aurait tombé au moment où Slaim avait été paralysé. Il n'avait qu'à attendre que tout tombe.
Il regarda Fael pousser le corps du vampire.
-Oui et c'est justement parce que tu as de l'elfe dans le sang que je te le demande. Moi je ne serais même pas capable de le traîner durant un mêtre.
Il la regarda disparaitre dans la maison. Puis se détourna rapidement. Il avait mieux à faire. Pour l'instant. Trouver du sang. Trouver Sùmalee. Cette pensée revenait le hanter. Hanter, c'était le mot. Comme un fantôme. Une pression dans sa tête. L'image qui revint.
Il ne pensait qu'à finir ses prélèvements pour commencer à chercher. Slaim n'aurait pu la tuer. Mais peut-être... Il avait peur de l'avoir sur-estimer.
Lorsque le sang retomba, la fée se dirigea vers une flaque qui s'était formé sur une planche de bois. Il en remplie une seringue. Puis il se releva. Se dirigea vers une autre flaque. Il continua jusqu'à ce que toute ses seringues soient pleines.
Puis, il quitta le sol. Pour prendre de la vitesse. Voler jusqu'au dernier endroit où il l'avait vu, où plus tôt il avait cru l'imaginer.
Elle n'était plus là. C'était certain. Mais il chercha des traces. Des preuves qu'il ne l'avait pas imaginer. Suivant la rue dans laquelle elle avait disparu, il finit par trouver. Phoenix trouva quelque morceaux de cartes. L'écriture semblable à celle de la fausse carte que le voleuse lui avait donner. Il l'avait encore. C'était la vraiment. Il chercha les autres morceaux, n'en trouva que deux. La course des villageois les avait éparpillé. Aucune chance. Il rangea les bout de carte dans sa bourse, puis retourna à la maison. Il aussi commençait à avoir faim.

Tout était soudainement devenue noir. Slaim était prisonnier dans sa tête sans aucun sons ni aucune odeurs. Il marchait à travers les dédales cérébrales de ses pensées tout en réfléchissant. Sans qu’aucun son ne sorte de son corps inerte, il se parla à lui-même.

« C’est vraiment n’importe quoi. Me gâcher mon dernier plaisir et me fermer toute possibilité d’agir… Il faut vraiment être chiant comme ça se peut pas… raaa »

Il tourna un coin imaginaire pour se retrouver dans une ruelle qui n’existait que dans sa tête. De frustration il frappa sur le mur de droite qui s’effondra en faisant trembler le sol.

« Oups… c’est vrai que je ne suis pas dehors… faudrait pas que je m’abîme. »

Il ria de sa propre plaisanterie bien qu’elle ne fut pas tout à fait une blague.

« Et je suis sensé rester ici combien de temps? » Dit-il, ne s’attendant pas à recevoir de réponse.

Tout ce qu’il ressentait à l’extérieur de son corps lui était bloquer. Ne restait que ses autres sens, ceux dit de vampire. Il percevait une présence chaude près de lui. « Sûrement Fael… » Les parois de son univers vibrait alors qu’il essayait de sortir de son état léthargique. Mais se connaissant il savait qu’il n’arriverait jamais à percer ses cloisons mentales. Il n’avait pas soif ce qui était probablement le seul point qu’il appréciait à sa situation.

Il avait abandonner son emprise sur le sang à l’extérieur… Il ne voulait pas qu’on le croit encore capable de quelque chose. Le vampire était figé mais pas le sorcier ce qui lui força un sourire. Slaim se demandait s’il lui était possible d’avoir une meilleure perception sans ses yeux alors il se concentra.

De l’air… il sentait une légère brise, mais ce n’ était pas comme s’il la sentait sur sa peau s’était un sentiment de légèreté qui parcourait l’environnement autour de son enveloppe.
Il ne s’était jamais vraiment attardé à se refermer sur lui-même et aller au delà de ce qu’il connaissait. S’était une expérience nouvelle même si elle lui semblait faible il arrivait à avoir une certaine perception.

Avant qu’il n’ait pu essayer autre chose il senti ses sens lui revenir… et la soif aussi.
Il ouvrit les yeux. Ils brûlaient d’une flamme noir. Il se calma et se concentra sur ce qui était autour de lui. Phœnix n’était pas présent, du moins pas dans la maison. Il n’y avait que Fael qui semblait l’avoir… « transporté?! » le dernier mot lui avait échappé tellement il trouvait ridicule que quelqu’un ait pu le déplacer. Seulement un léger son, rien d’autre… à peine perceptible. Elle ne l’aurait pas entendu de sa bouche.

Il était étendu sur un lit dans une petite maison. Il ne savait que faire puisqu’il ne pouvait pas bouger… il était en position de faiblesse lui semblait-il. Il se concentra sur ce qu’il percevait. Il y avait des contenant sur la table qui était proche de l’entrer, des ustensiles, un vase d’eau qu’il s’étonna qu’il ne fut pas renversé depuis déjà longtemps.

Fael était adossé sur le mur et n’avait, apparemment, pas remarquer sa reprise de conscience. Il se concentra et ferma la porte doucement sans lever le petit doigt. Il ferma aussi la seule fenêtre. La pièce s’assombrit. Il déplaça la table pour bloquer l’entrer. Le tout ne dura que six millième de seconde et ne fit aucun bruit. Il contrôlait maintenant son propre corps par la pensées…c’était très différent de l’impression de se mouvoir, s’était comme bouger un objet possédant des centaines d’articulation. Il s’assit sur le lit, tourna sa tête ( sans vraiment la tourner…) et regarda Fael.

« …Bon… où en étions nous? » Il étira sa masse facial pour former un sourire peu convainquant.

fael ne s'était pas rendu compte, tout de suite que slaim avait barricader tout les issue possible

quand il lui parla, elle releva vivement la tete. elle ne sattendait vraiment pas a ce que slaim soi assis dans le lit, en plus quil lui parle. elle commenca a resentir de la panique monter en elle. elle fit une mis au point de la situation tout etait fermer sans quelle sens rende compte.

ou en etions nous je ne veux pas vraiment men rappeler tu sais tu aller surment essayer de me regouter encore un fois, tavais pas assez de la derniere fois

elle ne sens etait pas encore appercue mais son sang coulais encore un peu le long de sa nuque a cause de slaim bien sur

En arrivant, Phoenix remarqua que la porte de la maison était fermer. Feal ne l'avait pas fermé. Il n'était parti qu'une minute. Elle aurait eut le temps de fermer la porte. Mais c'était tout de même étrange.
Il posa sa petite main sur le bois sec, poussa doucement. Après quelques centimètre, la porte refusa de bouger. Il poussa avec plus de force. Sans effet. Le meuble, il ne le vit pas, mais il était sûr qu'il s'agissait d'un meuble, était trop massif, ou du moins placer de sorte qu'il ne puisse pas l'ouvrir. C'était bien sa veine. En essayant de regarder par la fente qu'il avait créer, il ne pu rien voir qui puisse l'aider. À quoi lui servait-il d'avoir une des vues le plus perçante de la guilde, s'il ne pouvait rien voir?
Il n'avait pas vraiment besoin de regarder. Feal ne se serait pas enfermée elle-même. Slaim devait s'être réveillé. Une explication logique...
Il soupira bruyamment. On est jamais mieux servi que par soi-même. Qu'est-ce qu'elle avait fait? Maintenant, il était éveillé. La fée fut envahit par une profonde lassitude. Pourquoi chaque fois qu'il maîtrisait quelqu'un, il fallait qu'un autre vienne bacler son travail?
Rapidement, il alla à l'unique fenêtre de la maison. Celle-ci était cacher par des volets en bois. Plus simple à franchir, mais il fallait toute de même beaucoup d'effort de sa part. Que pouvait bien faire Slaim?

S’était d’une certaine manière très forçant de se contrôler soi-même par la pensée. Slaim n’allait pas durer longtemps s’il restait dans cette condition. Poussant un soupir il porta sa main à son cou. Il cherchait l’aiguille avec ces pensé ce qui était assez compliqué puisqu’il avait encore de la difficulté a conserver ses sens éveillé et au moindre faux mouvement il pouvait retomber inerte sur le lit parce qu’ayant mal pris l’aiguille.

Il la percevait par intermittence et très diffuse. La touchant lentement il sentit ses nerfs se crisper un dixième de seconde ce qui le força à s’arrêter alors que Fael ouvrait la bouche pour parler. * La… re-goûter..?!…hmm * pensa-t-il en se rappelant le goût qui lui avait glisser sur la langue dans la forêt. Il reprit son mouvement avec plus d’assurance sachant où se situait l’aiguille. Il n’y eu pas de rétraction de la part de son corps cet fois-ci et d’un coup sec il retira l’aiguille qu’il laissa tomber sur le sol. Le son fut vibrant dans ses tympans, lui rappelant qu’il pouvait se contrôler physiquement.

Fixant son regard sur Fael.
« Je dois t’avouer que j’ai bien apprécier la dernière fois. »

Se relevant d’un mouvement sans vie il se rapprocha d’elle avec le sourire. Cette même lueur dans les yeux il plongea dans ses prunelles bleuté.

« Et puis…cela vous a déplut à ce point cette fois là? »
Sa voix prenait des tonalités douce et mielleuses, cela lui venait si naturellement lorsqu’il voulait quelque chose…

je n'ai jamais dit le contraire

elle se rappellais cette sensation, d'aucun controle sur sa vie, infiniment vertigineux. elle n'avait pas eu mal au contraire cela avait meme ete une experience tres bizzard, mais plaissante.

mais pourquoi nous nous rencontrons aussi souvent et que je sois dans le pettrin aussi... vraiment ses bizzard

il s'était rapprocher pendant quelle penssait a tout cela. avait-il le gout de la regouter encore une fois mais cette fois-ci le sang qui coullait dans son coups pouvais etre dangereux pour elle et tres attirrant pour slaim

Empreint de douceur il se rapprocha encore plus tandis qu’elle parlait. Il humait le parfum aux touches à la fois sucrées et ferreux… Un doux contraste au nez de Slaim.
« Mais tu l’a insinué… » lâcha-t-il avec un petit rire.

Il laissa ses lèvres glisser lentement sur son cou tout près du filet défendu. Une langue suave passa et entreprit de doucement, lentement, posément de goûter chaque parcelle de se qui avait commencé à ruisseler sur sa peau à l’allure féerique. Il sentait qu’elle retenait son souffle comme si elle s’apprêtait à murmurer quelques chose.

slaim... arrete s'il te plait... pour moi

elle avait tourner la tete tout en s'éloigniant un peu de lui mais leur levres etait tres proche l'une de l'autre. elle le regardait dans les yeux. dans les sien il y avait un mélange d'inquietude pour sa securiter il n'était pas comme la derniere fois s'ette fois si elle ne savais si il avait le controle total de lui meme. en meme temps un sensation de vertige indescriptive elle avait le gout de se coller a lui en ne sachant pourquoi peu etre s'etait lui qui procurait cette sensation il etait bien un vampire ses moyen pour attirer ces victime il en connaissait un rayon...

Son cerveau bouillait. Les années lui avait donné ce contrôle qu’il chérissait tant sur sa soif, mais ce soir ce n’était même pas de la soif puisqu’il était gorger de sang pour des lunes. Le temps avançait telle un tic-tac contre la montre. Son esprit était à cent pour cent présent mais sa volonté se faisait distance en comparaison de cette envie sanglante, de ce besoin de faire souffrir. Que pouvait-il y faire? Il avait encore le goût sur ses papilles. Comme un poison aux saveurs exquises.

* arrête s'il te plait… * cela résonna comme un glas dans sa tête. Voulait-il vraiment la faire souffrir? *NON!…OUI!……. * Cette nuit n’était pas la sienne, il n’avait pas le droit d’interférer avec sa nature. Il risquait de le regretter s’il parvenait à faire quelque chose.

Un grondement retentit des tréfonds de son être. Une personne lui avait montré qu’il était possible d’être gentil… une personne si douce, si fragile Et il devait tuer son père.

Il frappa un coup sur le sol de colère. Il sentait que Phoenix était dehors et qu’il n’allait pas tarder à entrer. La tête lui tournait. * C’est que en chacun de nous , la gentillesse est là…* Se pouvait-il qu’il ait le choix?… Le choix d’être bon?… Le choix de vivre pour les bonnes choses? Tout son être vibrait, les dents retroussé il se dit qu’il devait faire peur… Un monstre. Les images du passé affluaient dans son crâne telles de l’acide sur une plaie béante. Il tapa encore plus fort secouant la maisonnette dans tout ces fondements. Le planché était marqué par un démon. Un démon sans cœur ni âme. Un démon qui ne verrait jamais le salut, condamné à servir un mal plus puissant que lui.

Ses griffes sortaient et rentrait, sa peau se déchirait et se reformait signe de la confusion qui régnait en lui. Il tourna ses yeux vers Fael. Ils criaient d’intensité passant par toute les couleurs les plus sombres, essayant de toutes leur force de contenir cette puissance titanesque qui luttait à l’intérieur de lui. Il martelait le sol à la recherche d’une solution.

Soudain tout s’arrêta à l’intérieur de lui… Un calme étrange… et si doux. Alors il la vit. Une ombre noir parmi ses pensées. Elle murmurait pour elle même.

« Se soir je ne puis te libérer… Les ténèbres t’avaient choisi, mais il semble que tu désire plus que la douleur, la destruction et la fin de ce monde… Je donnerai le poste de Gardien à quelqu’un d’autre. »

Elle se rapprocha de lui et l’embrassa avec une passion d’immortel. Un instant qui dura un millénaire dans son cœur.

« Je t’espère sincèrement de vivre heureux… de tout le bonheur que la nuit ne peut t’offrir, mais, dit-elle avec un sourire au coin des lèvres, j’aurais bien aimé t’avoir tout proche de moi… »

Tout s’arrêta, ou du moins tout revint à la réalité et la douleur revint elle aussi. Une incompréhension se lisait sur son regard. Pourquoi lui avait-elle dit qu’elle le libérait s’il n’était toujours pas libre?… * Se soir je ne puis te libérer… * se murmure reparut dans son esprit… Il sourit comme il ne l’avait jamais fait. Il regarda Fael de nouveau.

« Tout va changer bientôt » dit-il avant que sa prunelle ne revire au noir.
Slaim concentra toute l’énergie qu’il avait pour faire une dernière chose. Une ombre noir emplit la pièce telle les ailes de l’ange de la mort. Il hurla de toute ses forces. Le plafond s’arracha de sa penture tellement s’était puissant. Un hurlement de mort, il voulait se vider au maximum… ne pas mourir mais presque… le suicide d’un vampire, aurait-il la volonté d’aller jusqu’au bout? Non.. il le savait bien mais il fallait qu’il se vide le plus qu’il pouvait. Il continua d’hurler. Il savait qu’à se stade Phœnix ne pourrait pas l’approcher, s’était totalement impossible. Rare sont ceux qui on déjà vu une telle chose de leur yeux. Le ciel tournait, les nuages était chargé d’une énergie radicalement nouvelle, ils brillait comme s’ils allaient exploser. Des couleurs ambre, or et argent les animaient. On pouvait facilement imaginer le souffle dégagé à l’extérieur la cabane. Slaim espérait seulement que Phœnix s’en sortirait indemne. Des langues de feu perçaient le plancher et la foudre ne cessait de frapper autour. Slaim n’était jamais aller aussi loin. Il senti des mort qui se secouait sous la terre… il devrait bientôt arrêter avant que la magie ne réveille certaines choses. Il vit une main traverser le plancher… au moment où il s’effondrait à bout, peut-être ne survivrait-il pas… Dans ce cas il serait parti avec son choix de fais… Un sourire lui étira les lèvres…

dès que slaim avait donner un coups sur le sols fael avait compris que sa vie a elle pouvais etre fini d'une secondes a l'autre. Le murs sur celui qu'elle s'était adosser s'était ecrouler en partie sur elle et slaim mais celui-ci avait sembler ne rien ressentir.

A la place son corps vibrait ces dents etait retrouser. fael etait trop préocuper par ne pas ce faire aplatir par un bout de mur qu'elle ne vit pas tout de suite l'états de slaim.

elle s'en rendit compte quand il resecoua la maison encore et encore. elle vit le plancher un demon ???

tout s'arreta pendant 5 seconde les 5 respiration qu'elle fut capable de compter

respire maintenant fael s'était telle ordonner un ... deux... trois... quatre... cin

elle avait regarder slaim ses yeux avait changer au debut sa vie vide et tout a coups l'incomprehention

il lui avait dit ses mots:

« Tout va changer bientôt » dit-il avant que sa prunelle ne revire au noir.

le crit qu'il avait pousser etait si fort qu'elle avait mis ses main sur ces oreilles meme la encore le son etait trop destructeur. si on pouvait dire.fael etait si proche de slaim que s'était bénéfique pour elle cars rien ou presque ne la touchais vraiment ou il y avait bien des chose mais elle ne les sentais pas tellement il passait vite autour d'elle et les nuages gorger. Des couleurs ambre, or et argent. comme si il allait exploser. le feu apparue de nul par l'échait la maison il y avait tellement de bruit en dedans que dehors quelle n'entendais plus rien vraiment plus rien. des main apparue dans le plancher et ses a se moment qu'il tomba par terre le sourrir au levres.

fael pensait que ce serais fini apres que slaim soi tomber mais il paraissait que non les mort qui sortais du sol voulaient vraiment en sortir et faisaient tout pour y parvenir.

et phoénix qu'était-t-il devenue etait t-il en securiter

elle eu a peine le temps d'y reflechir quelle se faisait tirer par une jambe elle poussa un cris le premier depuis cinque minute en fait il ne s'était passer pas plus de temps. elle s'était accrocher au corps de slaim il etait tellement lours qu'il n'avait pas bouger et elle non plus ou presque et puis cela avait commencer a s'arreter quelque peu elle en profitta pour appeler la seul personne quelle savait dans l'éparage vivant enfin encore elle l'esperait

phoenix... aide nous ....

elle avait crier le plus fort qu'elle pouvait elle n'avait deja pas beaucoup de fort avant que tout commence elle en n'aurait pas pour sortir slaim et elle de tout cela

et elle sombra de fatigue se n'était pas le moment mais elle continuait de parler elle ne savait si quelqu'un l'entendait mais sa lui etait eguale

il est vivant il faut le sauver... il le faut... faut ... vivant...slaim

Phoenix entendait tout. Entendait et ne réagissait pas. Il devait attendre le bon moment. Moment qui n'arriva pas. Il ne pu rien faire. Seulement sourire.
Lorsqu'un mur tomba sous un des tremblements qui secouait la terre, il préféra rester invisible. Il y a un moment à toute chose. Pour l'instant ce n'était pas le sien. Tapis dans l'ombre de l'aube naissante, il suivait la scène. Les dents serrées. Il comprit un instant le trouble de Slaim, mais bien vite il en fut incapable. Impossible. Fascinant.
La fée vit tout les changements. Il changeait d'idée, d'apparence, d'émotions. Sans cesse. Meurtri, troublé. Les seuls mots qui pouvait prétendre au monde.
­­« Tout va changer bientôt » dit-il avant que sa prunelle ne revire au noir.
C'était du sérieux. Un sourire carnacier étira les lèvres de la fée. Il allait voir tout un spectacle. La terre trembla une seconde fois. PLus fort, plus menaçant. Accompagné d'un cri puissant. Diabolique. Phoenix dut poser les mains sur ses oreilles. Insuportable hurlement qui n'en finissait pas. Son coeur se souleva. Il n'eut pas le temps de s'expliquer, feu et foudre le prirent pour cible. Il s'envola, plus vif que les éléments. Le cri devint plus fort. De l'énergie pure sorti de la maisonnettte. Un souffle de vent. Pire que la foudre. Le propulsa vers le ciel. Vers l'orage qui grondait, toujours plus fort, plus magique.
Le coeur fragile, les typams sur le point d'exploser, la fée continua à sourire. Il n'aurait jamais cru mourir ainsi. De cette façon. Par la faute de Slaim. Il s'était mainte fois imaginer égorgé, ou vider de son sang. Mais aujourd'hui, ce sera peut-être les éléments qui le tueront. Que demander de plus?
Y survivre...
Phoenix accepta le défis avec bonheur. Il ferma ses ailes. Se laissa porter par l'onde. Toujours vers la foudre. Vers les nuages d'automne. Ignorant le cri. S'imaginant une paix interrieur pour ne pas avoir peur. Lorsque l'onde mourut avant d'atteindre le ciel, il rouvrit les halos. Évita l'éclair qui passa près de lui. Une chance qu'il était une fée.
Une minute plus tard, plus rien ne bougea. Les nuages avaient repris leur course normal. Le feu avait laisser les cendre à la terre, le souffle laissa la cabane sans défence. Le silence.
[Phoenix... aide nous...]
Une voix féminine. Désespérée. Il ricana avant de redescendre en flèche.
Il eut letemps de voir les restes de la maison. Slaim étendu. Feal rampant pour le rejoindre. Les mains sèches et momifiées qui la retenait. Il ne pouvait pas les transportés. Encore moins tout détruire.
En une fraction de seconde, il passa à quelque centimètre du sol. Remonta au-dessus de la maison. S'arrêta. Ouvrit sa main pour voir la poignée de sable qu'il avait pris. Combiné le sable et l'ombre. Il l'avait déjà fait. Il souffla. Le sable s'envola à son tour, devint noir puis halos. Télétransportation. Tecnhique venu du désert, qu'il avait adapté pour lui-même. Lorsque tout fut fini, les mains n'avaient plus rien à aggripper. Les deux corps avaient disparu. Phoenix disparu à tire d'ailes vers les ruines. L'aube se levait.

fael se reveilla seul avec slaim dans les ruines le points de départ il s'était passer combien de temps depuis l'incident surment pas beaucoup vue que le soleil commencait a pointer mais qui les avait transporter jusqu'ici phoenix ?? mais ou etait-t-il si s'était lui.

slaim comment allait-il. elle lui tennait encore la jambe elle se trenna par terre pour etre a sa hauteur pour voir comment il allait. il avait encore se sourir mais sinon son etats avait-il empirer

Les premiers rayons de soleil. Si sublimes, si doux et si dure à accepter. Un moment qui passe si vite et laisse cette saveur sur sa peau blanche, cette saveur chaude puis froide l’instant d’après. Un dur rappel d’une éternité qui perdure. L’aube.

Il ouvrit les yeux, des yeux nouveaux pour une vie nouvelle. Une vie nouvelle dans cette mort qui le laisse pourtant vivre. Une pensée l’effleura du bout des doigts : il était en vie.
Du moins, il vivait. Il laissa son esprit divaguer un moment sur son corps, analysant chaque parcelle de sa peau de parchemin. Ses traits s’étaient adoucies. Il s’amusa à observer son sourire. Un sourire qu’il y avait longtemps qu’il ne s’était vu porter. Réintégrant son enveloppe il ouvrit ses yeux physique. Ils brillaient d’un éclat rubis, un éclat qui allait à jamais remplacer celle, ténébreuse, auquel il s’était habitué et qu’il avait aimer porter comme un symbole de son orgueil, sa puissance et sa tendance à la haine démesuré. Saurait-il un jour s’habituer à son nouvel état?… Il l’ignorait et ne voulait pas y penser puisqu’il avait fait son choix. Il vivrait sa vie de vampire puisqu’il y était obligé, mais ne blesserait plus personne par soif ou par plaisir. À cette seul pensée sa prunelle prit une teinte argenté. Ces ancêtres lui avaient peut-être légué ce dont il avait besoin pour vivre cette existence à son meilleur. Il ne bougeait pas, perdu dans un plaisir qui lui vrillait l’âme. Il avait maintenant une raison d’exister!

Il entendit une petite voix avant de s’apercevoir que Fael était penché et lui parlait. Ces yeux bleu semblait si bouleversé alors qu’il n’y avait rien. De quoi s’inquiétait-elle?

… Pourquoi as-tu fais tout ça…

* Parce que… Parce que j’aime la race humaine…Parce que je veux la protéger… Parce que… *

Il bougea lentement les lèvres. Sa prunelle avait repris cet éclat chaud de rubis.
« Parce que je n’ai pas choisi d’être ce que je suis… »

Il releva prudemment son dos sans la bousculer. Se tenant en position assise. Bien qu’inutile puisqu’il ne sentait nullement faible, c’était simplement pour rester à même hauteur que Fael qui l’observait comme s’il allait s’enflammer et disparaître. Cette pensée le fit rire légèrement.

Le vol de Phoenix avait été plus long que d'habitude. Le jour avait eut le temps de poindre. Faible et fort à la fin. Il avait un peu la même sensation passé dans tout son corps. Fatigué par la nuit blanche, épuisé par les éléments, vidé par le sortilège. Automatiquement, ses ailes le firent filé plus lentement. Pour se ménagées.
Il était même essouflé lorsqu'il se posa près de Slaim. De loin, il l'avait vu se redressé avec un sourire sans violence, seulement heureux.
-T'es content? Je suis crevé... complètement... C'était quoi l'idée d'ailleurs? Non, laisse, je veux pas le savoir. Dans mon état, je comprendrais rien de toute façon. Et je préfererais être plus lucide pour l'entendre... que ce soit l'explication ou les excuse pour que je ne l'entende pas. En passant j'ai perdue deux de mes aiguilles dans cette histoire...
Il tendit la bras vers Feal dont le sang du cou commençait à coaguler. À côté de la petite plaie, il y avait l'aiguille que la fée lui avait planté beaucoup plus tôt dans la soirée. Délicatement, il prit la pointe et tira d'un coup vif. Comme à l'habitude, il n'y avait qu'un filet de sang qui coula hors du petit trou que celle-ci avait formé.
-Une maintenant... C'est pas que je tiens si fort à elles, mais quand même, l'argent, c'est pas donné, et c'est du travail de maitre. Alors... tu veux un pansement? Hésite pas...
Il pinça l'aiguille entre ses lèvres, avant de la faire glisser. Puis d'un mouvement souple, il rangea l'arme dans le lacet de cuir où elle avait été. Un sourire un peu las. Il était parvenu à maitriser les petits tremblements qui assayait ses mains. Resta debout malgré l'irrésiblible envie de dormir.

quand fael vit que phoenix etait crever et decida de jouer un peu le jeu avec celui-ci elle se leva et le rejoignie meme si il etait pas tres loin en sapprochant elle se fit cajoleuse

il est temps que tu te repose phoenix tu nous a beaucoup aider maitenant il faut faire attention a toi

elle lassis par terre acotter a un arbre

tu est si fatiguer quelque minute de repos ne te ferais pas de mal et la nature est si accueillante

ses yeux devaient etre si lourd. elle lui caressa les cheveux pour quil se calme et ferme les yeux quelque minute plus tard elle se retourna vers Slaim.

toi je supose que tu na pas besoin de dormir mais moi oui

elle sapprocha de slaim et lui donna un bec sur le front. elle avait l'intention de partir bientot où elle ne le savait

La fée se laissa faire. Trop épuisé pour ce débattre. Et amoureux de femme. Il se laissa faire, n'hésita pas à poser son menton sur l'épaule en peu plus haute de Fael. Son oeil s'était fermer. Pour goûter un peu au moment. Pour se reposer un instant.
Un sourire paisible sur les lèvres. Les bras trop las pour se poser autour des hanche de l'elfe.
Sa voix était douce. Dénuée de malice et de sensualité... simplement douce et mélodieuse. Il y perdit son ouïe, seul sens maintenant qui était encore en alerte. Ils marchèrent quelques pas. Que c'est long quelques pas. Il senti qu'on l'assisait. Lorsqu'il sentit un arbre dans son dos, ses ailes se déployèrent automatiquement pour lui laisser l'espace de s'y adossé.
Durant un court instant, il pu cacher son visage dans le cou Feal. Respira doucement le parfum de sa peau. Odeur de pin et de chêne. Légèrement salée. Chaude. Douce.
-J'me moque de la nature... c'est pas elle que je veux...
Un murmure qui l'acheva. Si bien qu'il fut incapable de prononcer un quelqu'onque mot. Il saisit faiblement un bout de la tunique de l'elfe, puis sombra. Fauché par un ennemi pire que la mort: le sommeil.