Le long voyage de Sù

Il se leva, regardant le luminaire qui brillait de mille feux alors que l’aube s’achevait et qu’il commençait à prendre de la hauteur. Slaim se tenait entre deux fissures des ruines pour observer le soleil. Phœnix sommeillait à présent, épuisé. Pâleur incarné, Slaim eu un moment de compassion, il était heureux que son ami n’aie rien, qu’il soit en vie et surtout qu’il n’aie pas voulu d’explication. Slaim ne savait pas trop comment il réagirait face à son changement, Il lui avait toujours donné l’impression d’apprécier sa nature prédatrice. Il était certain qu’il n’en avait rien perdu mais il y avait maintenant une lueur de modération et surtout de jugement changé qui transparaissait de lui-même.

Fael s’était ensuite levé pour venir le voir elle avait déposé un baiser sur son front sans qu’il n’y réagisse. Il s’était tourné sentant son regard s’attarder sur sa peau d’albâtre presque transparente. Ses yeux carmin la regardèrent alors qu’elle lui expliquait elle devait dormir. * Qu’elle étrangeté… le soleil se lève, je ne dors pas et eux veulent dormir. Voilà de quoi défaire tout les mythes au sujets des vampire * pensa-t-il avec un sourire. Il perçu une hésitation dans sa voix… comptait-elle partir bientôt? De toute manière cela comptait peu à ses yeux. Elle le considérerait probablement comme un monstre à l’avenir et il la comprenait. La pardonnant déjà de ce genre de pensé qu’avait ceux qui le côtoyait trop longtemps. Il resta ainsi debout ne voyant que dire. Les yeux attaché à ceux de Fael un moment.

elle ne su pourquoi elle fit se geste mais s'était plus fort qu'elle comme une obsession ou bien une attraction les yeux de slaim avait croiser les sien pendant une ou deux minutes. elle avanca de quelque pas en silence. elle mis ses main sur les hanche de sliam la ou dabitude une sensation douce mais chatouilleuse un peu etait. elle se mis sur la pointe des pieds et depossa un baiser sur les levres de slaim

elle pensa a se moment

*mais pourquoi je fait sa surment que vraiment j'ai envie de me faire tuer aujourd'hui mais cette attraction est si forte, surment vue qu'il etait un vampire cela ne pouvais etre que ca elle lui en demanderais la cause plus tard quand tout cela serais fini*

*Suis-je si masochiste?… * Pensa-t-il. *Elle me hait… c’est certain * Pensait-il alors qu’elle se rapprochait. Elle ne pouvait que le haïr, il avait détruit l’avenir de tellement de personnes, d’enfants, de femmes, d’êtres quels qu’ils soient! Il se haïssait tellement qu’il en grinçait des dents. Une tonalité à peine perceptible, mais qui lui arrachait les tympans, ce son traversant les trois os de l’oreille, l'enclume, l'étrier et le marteau tel un troupeau de casserole.

Plus rien ne bougeait dans l’univers alors qu’elle se glissait sur la pointe des pieds. Il n’avait toujours pas réagit, ne voulant pas croire qu’elle était vraiment si proche. Il retenait l’air contenue dans ces poumons pour ne pas la sentir. Pourquoi fallait-il qu’il attire les problèmes à ce point?!.

Puis tout s’effondra, il sentit la chaleur de ses lèvres l’espace d’un instant. Des effluves sucrés se glissèrent lentement par toute ses papilles jusqu’à son nez qu’il croyait immuniser. S’était comme un feu qu’on aurait éteint, cette braise lente et rougeoyante lui perçait la gorge. Il s’était vidé de son énergie au cours de la nuit et tout lui revenait à présent plus vif qu’un fer. Il avait soif.
Il la repoussa vivement tout en se reculant d’une vingtaine de pas, qui parurent n’être qu’un seul. Ses yeux brillait de teintes écarlates, des reflets argenté les traversant.

« Non…! »

Il disparut pour trouver se qui pourrait assouvir sa soif pressante. Se glissant entre le feuillage des branches… Il ne revint que quelques heures plus tard.

slaim lavais pousser si vivement quelle n'avais pas eu le temps de se ratrapper a quelque chose. elle etait tomber sur le dos. elle resta dans cette position non parcequelle etait sonner ou quelle avait mal. elle etait seulement decus, decus qu'il les pousser et partie. mais elle comprennait pourquoi meme s'était tres bien. il etait un vampire et elle un mi-fée-elfe deux natures tres differente et lui il avait surment voulu ne pas provoquer une catastrophe avec elle

quand slaim revien dans les ruines. fael etait toujours dans la meme possition que quand il etait partie sur le dos, les yeux dans le vide, dans ses penser a elle, les jambe et les bras de travers. quand elle le sentis pres d'elle elle s'assis par terre

tu dois surment te demande pour quoi je ne suis pas revulser par toi... je ne le sais pas moi meme, tu sais

pourquoi elle disait cela elle ne le savait peu etre que s'était une evidanse apres tout se qui s'était passer mais l'avoir dit comme ca comme si etait de bon ami mais ils se connaissaient a peine

et dit moi quelle sortilege forcerais quelqu'un a embrasser l'autre je sais que sa ne peu changer se que pense veritablement la personne mais quand meme

Perché dans les branches, sous le couvert des arbres, il était dans la forêt. Son cœur de prédateur avait repris le dessus. Il chassait, il brûlait, il avait soif! Sa magie le suivant, il la sentait qui courait dans l’herbe, le devançant presque. Pareil à un souffle temporelle. Il ralentissait la course du temps pour aller encore plus vite. Tout son corps était au aguets.

Un mouvement, une odeur. Il vira sur la droite, encore cent cinquante pas, il remonta en hauteur avant de retomber en piqué sur une masse noir. Un ours. Il dansa un moment contre son corps. Glissant, évitant les coups, riant devant se qui se croyait le maître des lieux. Il le caressait sans vraiment savourer le moment. Il n’était pas là pour jouer et il ne feindrait pas qu’il avait soif. Il pris le museau du soyeux animal et le regarda dans les yeux comme si s’était la plus belle femme du monde.
Percevait –t-il sa fin? Avait-il déjà abandonné? Il ne montrait plus signe d’agressivité. On aurait pu croire qu’il aimait, qu’il souhaitait mourir. Slaim se délecta un instant de se plaisir qu’il voyait dans ces gros yeux brun de nounours. Il fit un mouvement pour l’embrasser et continua sa course posant ses lèvres sur une gorge d’un poilu intense. Écartant le tout du bout de sa langue il planta des dents avides dans les veines de l’animal.

Puis tout se referma, il déposa un corps inerte sur le sol. Il en voulait encore! Il repartie aussi vite qu’il était venu. Il viderait cette forêt s’il le fallait, mais il voulait arrêter se feu qui lui rongeait l’intérieur sans blesser d’humain. Relâchant un cerf au sol, il filtra l’air de ses sens affilés. Moins gros, moins de poils, plus sucré et cette odeur qui fit bondir un cœur qui n’en avait plus la possibilité… un humain en pleine forêt?! Il fit vingt et un tour autour de l’endroits à une vitesse ahurissante. Il sifflait contre lui-même, contre cette envie qui le torturait. Il n’avait pas le droit! Cette saveur suffisait à lui rappeler le serment de ce qui restait de son âme… Il pris feu un instant, sur le point de s’auto consumer, tellement il rageait. Il repartit plus vite qu’avant cherchant plus loin encore et assouvissant ses plus vieux et sombres désirs d’immortel. Une vingtaine de cadavres derrière lui, pas d’homme ni de femme, mais d’animaux. Tous plus gros les uns que les autres, ils recouvraient son chemin. Pas une seule hématie n’avait été perdu, gaspillé. Il avait tout bu.

Sentant sa soif s’apaiser, ses yeux reprenant des teintes rubis et argentés, il était temps qu’il revienne pour s’expliquer. Il siffla la forêt sur son passage déplaçant à peine quelques brindilles. Une brise mortelle, voilà ce qu’il aurait été en d’autre moment.

Lorsqu’il arriva cela faisait plus de cinq heures qu’il était partie et elle n’avait quasiment pas bougé. Sur le dos elle se releva d’un mouvement peu humain, elle resta assis marmonnant des explications alors que c’était à lui d’en donner. Elle semblait dire qu’il ne la révulsait pas, qu’elle ne comprenait pas tout mais que c’était sûrement à cause de lui si elle l’avait embrasser. Il semblait qu’il n’ait pas senti son aura la recouvrire alors qu’elle s’approchait. Étrange. De toute manière il ne pouvait pas l’aimer, il ne le voulait pas. Comment se l’aurait-il permit? Il aspirait à une autre femme et, tout aussi étrangement, elle le calmait. Lui procurant peut-être un salut. Sa présence, cette lumière qui c’était un jour allumé l’espace d’un instant en son âme, s’était ravivé au dernier moment lui rappelant les paroles, les dernières de son père… avant qu’il ne meure.

Pourrait-il un jour partager son âme damné? Qui voudrait de lui? Un être sombre, mauvais de nature. Il voulait ravoir se calme qu’il avait déjà senti si près de lui!
Il laissa ces pensées dans un coin de sa tête pour réfléchir à ses mots.

« J’avoue qu’il est très étrange que tu n’éprouve pas de total dégoût à mon égards. »
Il rit un moment avant de reprendre.
« Je suis un vampire alors c’est possible que tu ne sois pas totalement toi-même à certains moment… »
Il glissa le dessus de sa main sur sa joue.
« J’ai quand même apprécié… » fit-il avec un sourire en coin.
Elle releva les yeux.
« Ne t’inquiète pas, je ne te mordrai pas… »

Un mouvement, Phœnix avait bougé dans son sommeil. Slaim le regarda, une étrange lueur dans les yeux alors qu’il repensait à comment il allait lui expliquer les changements qui avaient eu lieu en lui. Il ramena son regard sur Fael.

« Mais… toi tu devrais dormir un peu, tu disais être fatigué… » sans attendre un mot de sa part il la prit dans ses bras aussi vite et doucement que s’il ne s’était s’agit d’une plume. Il marcha, se rapprocha de Phœnix puis la déposa lentement à l’endroits qui lui semblait le plus confortable dans ces ruines. Elle n’était qu’à quelques pas de l’elfe.

Slaim resta ainsi, debout à les regarder.
« Aller, dors… »

Durant les cinq heures, Phoenix avait dormit. D'un demi sommeil, comme d'habitude. Prêt à se réveillé au moindre bruit suspect. Tout ce qu'il entendit sans s'en rendre compte, c'était quelques murmures soupirés, le vent, les pierres qui roulent. Mais il était tombant de sommeil. Même le cri de Slaim n'avait pu le réveillé. Il s'était perdu dans un véritable songe.
Durant les cinq heures, les sens de la fée s'étaient remis en marche. Il recommençait à épié son environnement, sans rien trouvé. Récupérant très vite l'énergie qu'il avait gaspillé lors de sa nuit.
C'est témoin sans le vouloir et sans s'en souvenir, qu'il entendit les chuchotements de Feal, les explications de Slaim, les pas de son ami qui se rapprochés. Pendant son sommeil, il était tombé sur le côté, sans oser s'éveiller.
Puis, soudainement, un malaise. Trop. Il en avait pris trop. Son estomac se contracta violemment. Il aurait posé sa main sur son ventre pour tenter de le calmé, mais sa cuirasse l'empêchait de touché sa peau. Toux. Il ne parvenait pas à cesser de tousser. Durant un moment, il cru y laisser ses poumons. Il manquait d'air, puis en avait trop, pour en manquer de nouveau. Abandonnant l'idée de se redresser. Pour le nombre de fois, que cette situation lui arrivait, et par son expertise en médecine, il savait qu'il serait mieux de rester allongé sur le côté, bouger le moins possible, attendre que ça passe.
Après plusieur minutes, il réussit à vomir un peu du sang qu'il avait avalé. Puis il se sentit calmer. Pour quelques minutes... Ç'aurait été stupide de croire que s'en était fini.

quand Slaim l'avait doucement déposer pres de phoenix elle avait essayer de rouspeter un peu mais sa ns succes

je ne veux... pas.. pas be.....soin

elle s'était endormis d'un sommeil leger mais réparateur peu etre une trente minute plus tard elle fut reveiller en sursaut. par le bruit que faisait phoenix, casie en convultion et vomissant du sang.

Slaim etait toujours devant elle et phoenix, celle-ci se retourna vers phoenix

qu'a tu phoenix vas-tu bien?

Toujours debout il s’était perdu dans ses pensées. Perdu est peut-être exagéré puisqu’il se reposait en laissant le sang réchauffer et rougir sa peau. En laissant ses réflexions incessantes de coté. Elles continuaient de tourner en arrière plan du calme impénétrable qu’il affichait. Il ne voulait pas fermer les yeux n’en sentant pas le besoin, mais surtout parce qu’il ne voulait pas se rappeler la nuit passé. Un nuit qui le hanterait probablement longtemps. Deux sentiments très contradictoires lui prenait la gorge y formant une boule compacte. Son instinct de prédateur avait apprécier cette nuit avec un plaisir à peine voilé. En même temps il avait quand même aimé cette odeur, ce parfum sanglant qui avait flotté dans l’air. C’est dans sa nature, c’est un vampire. Ce qui le dégoûtait c’était qu’il avait mis fin à tellement de vie en une nuit, en quelques heures.

Il n’avait pas évalué le temps passé lorsque Phœnix eu quelques soubresauts. Slaim eu un rire quand du sang lui sorti de la bouche. Fael se réveilla… ou presque et s’inquiéta son état. « Il n’a rien, ça va passé… le sang ne peut pas être supporté par tout le monde. » siffla-t-il alors qu’il retenait un autre rire. « Je ne comprendrai jamais pourquoi tu t’entêtes à essuyer tes aiguilles de cette manière… »

Levant légèrement la tête, il rendit son sourire à Slaim. Les lèvres complètement rouge, une petite coulisse sur la joue, le goût acre sur la langue. Son oeil orangé grand ouvert, un peu fièvreux.
«... pourquoi tu t'entêtes à essuyer tes aiguilles de cette manière...»
-Et laisser une trace de mon passage... ou encore, risquer de salir mes vêtements, non merci, mon chou. Je préfére encore vomir tout mon contenu gastrique. Aussi, tu sauras que j'a....
Tout recommença. Son ventre se contracta et il n'eut pas assez d'air pour terminer sa phrase. Son sourire moqueur disparut dans un rictus de dégoût. Ou du moins, un rictus sans appétit. Il se rapprocha du sol, prêt à recommencer le manèges. Qui prit plus de temps à venir cette fois.
Après qu'il ait réussit à cracher un peu de sang, la fée resta un peu à terre. Attendant de pouvoir reprendre sa respiration. Pour l'organiser de sorte qu'il puisse avoir de l'oxygène.
-Et puis... C'est comme fumer. T'es pas capable de te débarasser de cette mauvaise habitude. Tu le sais bien ... Je collectionne les mauvaises habitudes. Peut-être que je devrais essayer le tabac?
Il rit un peu. Un rire joyeux, qui aurait été plus convainquant s'il avait eut assez d'air pour le produire.

feal se calma reprit une position assise mais resta appuyer au pied de l'arbre ou elle etait elle recommenca a somnoler tout en les ecoutant cette fois-ci, elle s'appercue tres peu que phoenix etait encore malade. Elle pensais a certaine chose et en laissait passer dautre idée parfois elle avait un sourir au levres d'autre fois un air dure. tout dépendait de son imagination.

elle somnola jusqua temps que un deux deux gars lui parle combien de temps elle ne le savait pas mais cela devais faire bien des minutes quelle somnolait

Il n’avait toujours pas bougé, ou presque. Levant un sourcil à la mention du tabac.
« Tu sais bien que je ne fumerai jamais… Tu n’imagine pas combien c’est dégueulasse pour moi. »

Il leva les yeux pour regarder le soleil qui pointait midi. Il brillait d’une semblable puissance à la lune passé. Dégageant une chaleur qui luisait sur sa peau de calcite.

« J’ai changé… tu t’en étais sûrement aperçus… »

Phoenix était en train de vomir du sang pour la troisième fois, lorsqu'il entendit Slaim parlé. Il retint une envie de se redresser. Ce qu'il l'avait bien choisit le moment, l'ami. Il toussa un peu, mais rien ne sortit. Puis il leva la tête, s'appuya sur sa main. Il se força à esquisser un sourire.
-Tu me prend pour qui? T'aurais dû voir le sourire que t'avais quand je suis arrivé tout à l'heure... Qu'est-ce qu...
Il toussa encore. Cette fois, il ne cracha rien. Il lui faudrait un peu plus de temps pour vomir ce qui restait.
-Qu'est-ce que tu veux que je te dise? T'as choisit... Quelque chose que tout le monde choisit un jour, mais en beaucoup moins spectaculaire. D'ailleur je t'ai pas compter mes mésaventures...
Il avait finit sa phrase en catastrophe. Un nouveau spasme l'attaqua. Il l'avait sur le bout des lèvres. Il le sentait. Tout son être contracta. Lorsqu'il ouvrit la bouche, une nouvelle gorgée de sang en sortit.
-Ça te dérange pas si on parle de ça plus tard... Je sais pas si tu as remarqué, mais je suis pas vraiment en état de discuté de façon continu. J'ose croire que ton sens de l'observation n'est pas devenu nul après le choix, non?

Il rit de plus belle. Il semblait vraiment mal en point. Pauvre Phœnix, il ne changerait jamais. « En reparler plus tard?! Tu me sembles si attentif, pourquoi attendrais-je? »

Il baissa ses yeux rouges regardant Phœnix cracher une autre gorgé de sang. Ses yeux brillèrent un moment avant de reprendre une teinte terne.

« Quel gaspillage… tu devrais me laisser les nettoyer la prochaine fois »
Il sourit, montrant la pointe de dents d’une blancheur innocente.

« Et puis… De quel choix crois-tu qu’il s’agissait? Ou plutôt, quel choix penses-tu que j’aie fais? »

arrete de jacasser comme une fille slaim, tu parles plus ou autant qu'elles. Tu vois pas que phoenix veus vomir en paix

depuis quelque minute, quelle les entendait parler

et surment ton choix etait de ressembler a une fille jacassant jacassant et jacassant cars en tout cas tu le fait tres bien

elle se leva et prit slaim par une manche et essaya de le tirer un peu plus loin de phoenix au moin il pourrait finir de vomir du sang tout seul sans avoir un vampire au dessus de lui qui lui propose d'arranger cela la prochaine fois

quand sa seras passer tu viendras nous rejoindre

elle avait lacher slaim et retournait vers phoenix pour deposer une baiser sur le front de celui-ci

Phoenix avait éclaté de rire lorsqu'il vit Feal pousser Slaim plus loin. Fesait-il si pitié à voir pour qu'une fille veuille le défendre. Au moins, elle lui laissa le temps se souffler un peu. Il pouvait finir de cracher tout le sang, pour pouvoir parler sans interruption avec son ami. Ce qui lui dérangeait le plus dans cette histoire c'était pas que Slaim lui demandait le plus de précision possible sur son analyse personnel, mais qu'il ne pouvait pas faire une phrase complète...
Son rire fut stoppé raide par une nouvelle série de toussotement. Encore une fois, il eut l'impression que tout son organisme allait lui passer par la bouche. Mais ce ne fit qu'une autre gorgée de sang qu'il réussit à expulser.
C'est alors qu'il reprenait son air, que Feal revint vers lui, lui posa un baiser sur le front.
-Rien ne peut t'arrêter toi, hein? J'ai beau avoir la bouche en sang, j'ai quand même le droit à un baiser... *toux* HÉ, SLAIM!! *toux* Si tu veux du sang, t'as juste à venir m'embrasser...*toux* Elle vient juste de me donné l'idée!!
Le rire qu'il s'apprêtait à pousser se noya aussitôt qu'il recommença à tousser. Il ne pourrait pas tousser une seule fois, pour que tout sorte...

et non je sais pa se qui me force mais j'ai limpression que avaec vous j'ai vecue plus de chose difficil et cela

en mentionnant phoenix qui vomissait encore a chaque toux.

ne va pas changer grand chose j'ai vue pire comme du sang sortir des corps mais pas par la bouche des marres et des marres de sang tu veux d'autre exemple

elle se reculla de quelque pas pour ne pas que phoenix lui vomisse dessus et elle eu un petit rire en voyant l'air de slaim depuis quelle lui avait parler

et non je te niaisait tu parle oui mais bon on t'aime comme ca slaim et si non toi aussi tu veux une bec sur le front comme ton ami

elle le regardait avec un sourir malin comme si elle cherchait une idée pendable a lui faire

Il n’avait tout simplement eu aucune réaction, il était tout bonnement surpris. Elle semblait si endormi et l’instant suivant… Et bien elle ne l’était plus. Il se laissa tirer vers l’arrière. Encore étonné. Il l’a regarda alors qu’elle parlait à Phœnix et que celui-ci répliquait comme à son habitude, sauf qu’avec moins de ferveur puisque étant occupé à vomir tripes et boyaux. Elle l’avait coupé… Pourquoi? Il ne faisait que réfléchir! Pourquoi cette soudaine réaction comme s’il torturait quelqu’un? Elle parlait encore! Elle qui le traitait l’instant d’avant comme un jacasseur invétéré!
« … avec vous j'ai vécue plus de chose difficile… »

Il se réveilla soudain, sortant de sa rêverie alors qu’elle lui proposait un baiser sur le front. Elle avait souffert à cause de LUI! Il disparût soudain pour être tout près d’elle. Si près qu’il sentait son souffle sur sa peau. Il lui murmura à l’oreille : « Je suis tant navré… pardonne mes gestes et essaie d’oublier. J’aimerais t’offrir une chose. Peut-importe ce que c’est, demande le moi et j’irai jusqu’au bout du monde. J’ai tellement à me faire pardonner et pas seulement à toi. Mais tu ne méritais pas de voir cette nuit, de me voir agir…Si je pouvais pleurer je crois que je me viderais pour chaque vie que j’ai pris… »

Phoenix ne dit rien... pour une fois. Il aurait voulu dire quelque chose, mais sa voix était stopper par les spasmes qui secouait son corps... Il ne lui restait que quelque minutes. Sûrement plus. Il avait plus l'impression d'y rêver que de l'attendre.
Il avait cependant réussit à entendre de son ouïe fine les longs mots que Slaim murmurait à Feal. Il vit le visage souriant de celle-ci devenir plus grave. La fée aurait répliquer, pour simple plaisir de briser le moment. Mias tout son corps l'en empêcha en lui imposant une nouvelle monté de sang. La toux l'empêcha de prendre la parole, et ce, durant d'interminables minutes, sans que rien ne sorte de sa gorge. Il essaya de se calmer pour reprendre de l'air, mais il ne pu inspirer que quelques secondes avant de recommencer à tousser comme un asmathique.
«Ce que je hais ces jours....»

Fael eu a peine le temps de trouver une idée que Slaim surgie tout pres d'elle meme trop pres. elle failli en avoir des faiblesses.

il s'était excuser en lui murmurant a l'oreille: « Je suis tant navré… pardonne mes gestes et essaie d’oublier. J’aimerais t’offrir une chose. Peut-importe ce que c’est, demande le moi et j’irai jusqu’au bout du monde. J’ai tellement à me faire pardonner et pas seulement à toi. Mais tu ne méritais pas de voir cette nuit, de me voir agir…Si je pouvais pleurer je crois que je me viderais pour chaque vie que j’ai pris… »

elle en fut troubler etait ce vraiment lui qui lui avait dit cela.
il lui fallu quelque minute pour reprendre de l'assurance. elle leva la tete et le regarda dans les yeux.

ce que j'ai le plus besoin est d'un ami. mais pas n'importe qu'elle ami, un ami sur qui je peu compter. qui est pres a changer sa nature. par volonter et determination. pour le bien de ceux qu'il aime. et se qui est de moi tu sais que j'attir les ennuis tu te souvien quand tu ma vue pour la premiere fois j'avais ete attaquer par des loup-garou et combien de temps aie-je passer de jour chez rahjuu. je suis fait pour attirer les ennuis toujours ou je vais je me fait mal ou on m'attaque je m'abitue tu sais

et c'était aussi cette fois ou il l'avait gouter pour la premiere fois mais cela elle l'avais dit a personne. elle lui avait dit presque sur le meme murmure que Slaim lui avait fait ses excuse. elle se risqu'a a faire un geste qu'elle ne fut certaine mais le fit quand meme pour lui prouver qu'elle avait confiance en lui.

elle déposa sa tete oreille a la hauteur ou le coeur de slaim aurait ete suposer battre si il etait humain. elle le fit avec douceur et ferma les yeux pendant quelque secondes

Mort, gelé sans une pulsation et depuis longtemps. Son cœur avait perdu cette bataille d’autrefois. Pourtant il sentait un poids immense lui serrer la poitrine là où la vie l’avait quitter. Humain il avait déjà été, et jamais plus il ne serait. Une partit de lui l’avait abandonné à une nature vicieuse et prédatrice, il avait changer, son caractère avait évolué différemment, mais il se rappelait quelques uns des beaux jours qu’il avait vécu avant de trépasser. Il avait oublié son père ne gardant de lui qu’une phrase qui l’avait gardé de faire le pire… parce qu’il y avait bien pire que ce qu’il avait accompli jusqu’à présent, il avait souvent côtoyé d’autre vampire qui n’avait vraiment aucun regret d’avoir quitté leur ancienne vie. Vraiment aucun…

De son coté il avait toujours défoulé sa colère de se qu’il était devenue sur les plus innocents, mortels et faible humains. Des nuits comme celle passé n’était que peu de chose comparé à ce qu’il avait déjà fait alors qu’il n’y avait personne pour l’arrêter, pour lui dire qu’il avait déjà été l’un d’eux. Une proie.

Elle, cette gentille, courageuse et faible femme lui avait survécu. Ouvrant une porte depuis longtemps interdite en son âme il avait plongé tête première dans les flammes de la délivrance. En ressortant transformé, peut-être plus fort en un sens, mais plus faible en un autre. Tant était-il qu’il était libre de choisir sa voix à présent. Ne restait que ses instincts et sa soif, sa nature qui ne le quitterait jamais, un combat de chaque instant. Elle lui demandait un ami, il serait gardien jusqu’à sa mort. Elle lui demandait de changer…il ne pourrait jamais… Mais il combattrait sa nature tant qu’il vivrait, parce qu’il y avait vraiment de la gentillesse en chacun… même en lui et il creuserait son âme jusqu’à en mourir pour la faire ressortir.

Il la regarda alors qu’elle appuyait son oreille contre son cœur. Il ressentait sa chaleur transpercer le tissus et s’infiltrer sur sa peau. Il ne dit rien un moment, il ne voulait pas qu’elle bouge, pas tout de suite. Il y avait si longtemps qu’il n’avait ressentit cette chaleur émanant d’un corps en vie. Non qu’il ne l’aie pas senti lors de ses chasses, mais qu’il n’avait jamais ressentit cette sensation d’affection de quiconque. Il ferma les yeux, un réflexe purement inutile mais qui lui donnait l’impression d’avoir gardé un peu de son humanité. Il passa une main dans ses cheveux, lentement comme s’il réfléchissait à ce qu’il était bien de dire.

« Tu sais ce que je suis et tu me demandes malgré tout d’être ton ami, es-tu devenue folle! » dit-il en riant.

-Et moi alors? Je compte pour du beurre? Je te rappel que je te connais depuis plus longtemps qu'elle!
Phoenix se tenait derrière Feal. Debout. Plein de sa vitalité et de son sourire habituel. Il s'était collé contre le dos de la fille. Pour mieux s'émisser dans la conversation.
Il avait les lèvres en sang, plusieur marque sur les joues, de la saleté qui s'était collée au liquide visqueux. Sur la pointe des pieds pour pouvoir voir derrière l'épaule de Feal. Son oeil valide grand ouvert posé sur Slaim. Avec la même mine joyeuse qu'il arborrait.
Une de ses mains lui permettait de garder son équilibre en s'appuyant sur Feal, l'autre était poser sur son ventre, encore tourmenté, mais à peine douloureux.

elle lavait senti se passer une de ses main dans les cheveux et il riait en lui demanda

« Tu sais ce que je suis et tu me demandes malgré tout d’être ton ami, es-tu devenue folle! »

tu ses trai bien que non, je ne suis pas folle

elle decolla sa tete pour le regarder dans les yeux voir a peu pres se qu'il pensait dans ces yeux. peut etre quil n'aimerais pas qu'elle enleve sa tete de sur son coeur mais bon

tout se que j'ai dit je le pensait vraiment tu est bon Slaim. et je suis pas folle cars je cherche pas le trouble ses lui qui me trouve et facilement je trouve

ses a se moment que phoenix se colla a son dos en s'appuiant sur elle ses koi pensait il qu'elle etait plus forte que lui mi-fée mi-elfe ne voulais pas dire quelle etait plus forte. Mais bon maintenant elle etait prit en sandwich contre sl'aim et phoenix s'était bizzare comme situation

bien non phoenix ont t'avaient pas oublier de tout maniere comment peu ton toublier tu t'inseres si bien dans le conversation

elle ne pouvait plus bouger prit entre les deux gars elle avait un petit sourit vu la situation

Mal à l’aise. Étais-ce le bon terme? Phœnix avait le tour de détruire les ambiances créé par Slaim. Personne n’y changerais rien puisqu’il était fait comme ça.

« Phœnix, tu sais bien que tu reste parmi mes plus vieux amis. J’essayais de faire comprendre à Fael qu’elle était la première ami qui me connais sous mon nouveau jour et pas seulement l’ancien. Elle a vu quelques chose que je ne pourrai jamais partager à personne de la même manière. Alors… tu es toujours mon ami. Simplement se serais bien que tu te décolle un peu… juste pour la laisser respirer. »

La fée fronça les sourcils, en fesait une moue. Sans perdre son air amusé. C'était amusant, d'observer l'impatience. Il n'eut pas besoin d'émettre un son, son regard riait pour lui.
« ...ce serait bien que tu décolles un peu...»
-Je ne m'appuie pas sur elle. Alors elle peut toujours partir. En attendant, je peux parler sans vomir, alors... j'en profite pour rattraper les minutes où j'ai pu rien dire. C'est bien non? Je suis redevenu parlable. Aller Slaim, sourit un peu. Cet air-là ne te va pas très bien. T'as du sang là...
Phoenix pointa le coin des lèvres de Slaim, puis rapprocha un peu le visage, comme s'il essayait de faire disparaitre la tâche par la pensée.

fael eu un petit rire quand il dit a phoenix de la laisser respirer

celui-ci avait bien dit quil ne la retenait pas mais a son avis. si elle essayer de partir, quelque chose l'en empecherais et puis elle se sentais vraiment coincer.

a sentir la chaleur de phoenix et la peu froide de slaim qui faisait un juste milieu.

Mais quand meme se n'était pas une situation tres ordinaire et de plus phoenix s'appuyais sur elle. si elle partait il aurait appuie sur quoi.

elle si risqu'a elle fit un pas sur le coter