Le long voyage de Sù

sa te cause un probleme ou je peu tent lancer une autre sur le nez. cette fois sa te ferais bien, il serais plus dans le milieu en tous cas

elle sen donnait a coeur joie de lui lancer des repliques. elle avait un envis de le tapper peu etre qu'il allais repenser avant de voler n'importe qui

mais elle se rappela slaim qui c'était fait attaquer par dania il etait dans qu'elle etat maintenant elle se retourna vers lui et vit qu'il allait quand meme bien du sang avait coaguler un peu partout mais il semblais aller bien

Slaim se retenait pour ne pas mourir de rire, ce qui était peu probable. Phoenix venait de manger une voler! Il riait tellement qu’il en saignait presque du nez. Entre deux quintes de rire il entendit Fael qui lançait des réplique sans queue ni tête comme si un pur elfe allait se laisser impressionner par une "demi-portion". Il ne sentait même plus les "légères" blessures que lui avait infligé Dania. De toute manière elle ne serait plus bien longtemps, encore quelques seconde et elles ne paraîtront plus.

« Alors comme ça, vous vous connaissez? » Dit-il alors qu’il reprenait son souffle.

Il semblait que Phœnix ait encore volé, ce qui ne l’étonnait pas…

Pour sûr, elle avait frapper fort. Pas tant que ça quand même, mais quand on pense qu'une fée est plus fagile qu'un homme. Et l'autre qui était plié en deux à ses côtés. Être dans la même situation, lui aussi aurait rit... peut-être plus fort...
-C'est ça... moque toi, pour une fois que c'est moi la victime...
En le frappant, l'elfe avait accrocher la ceinture de cuir qui lui cachait l'oeil droit. Celle-ci avait légèrement bouger. Quand il s'en rendit compte il s'empressa de poser la main dessus. Il se retourna, s'éloigna de quelques pas. Pendant qu'il retirait son bandeau pour le réajusté autour de sa tête, il parlait.
-En fait, on se connait pas vraiment... C'est une courte histoire de carte secrète, d'alcool et de cinq pièces d'argents et deux de bronze, pour précisé exactement le montant que j'ai pris.
Il revint en fesant bouger sa machoire dans tout les sens, pour s'assurer que tout était normal. Slaim se calmait un peu. Et l'elfe semblait rageuse. Ce dernier fait le fit sourire.
-Si elle réagit comme ça pour à peine de quoi se payer des légumes, imagine si elle aurait eut plus...

elle se calma subitement

non ses le fait que tu ma voler de largent et que pour un fois tu ressoive une correction... d'une fille

mais ou on est ici et messemble qui est plus tot que tentot ses normal ou on a passer une journée dans le genre de portaille

elle parlais plutot a slaim elle avait meme tourner le dos a phéonix tout en gardant des distance de lui

La fée sourit de plus belle. Il s'approcha doucement de la fille. Puisqu'elle lui avait tourner, il s'était approcher sans qu'elle ne l'entende. Elle l'amusait vraiment cette elfe.
-Sûr!! Tu es dans une ville en ruine, Chérie. Il est exactement 20 heures et 23 minutes. Comment je le sais? J'ai regarder la lune... D'après sa position, plus près de l'horizon dans cette direction.
*D'ailleur, qu'est-ce qu'ils font ici?* Il leva le regard vers Slaim.
-En y repensant... c'est étonnant de te voir dans un lieu habituellement désert, surtout pendant cette période du mois...
Il pensa légèrement la tête d'un côter avec le petit air curieux qu'il prennait habituellement.

je pense qu'il n'y serais pas si on n'avait pas ete dans ce portaille. on serais dans un labyrinthe et un con ne nous aurait pas lancer ici et je suis pas ta chérie


elle prit de la disatance encore de phoénix vraiment elle le trostait pas. elle regarda slaim qui n'avais pas encore bouger. elle remarqua que ses blessur n'était plus apparente surment une facette des vampires, tres pratique je pense.

Ses cheveux changeaient de teinte à mesure que l’heure avançait. Bientôt ils brilleraient d’un éclat argenté. Slaim était un peu perdu dans sa réflexion. Il était vrai qu’il n’avait pas l’habitude d’être dans des endroits pareils les soir de pleines lune. Normalement il serait déjà en plein cœur d’un village à attendre que tous et chacun rentre chez sois, à attendre le moment où son cœur sombrerait dans une noirceur impossible à percer. Pourtant il se retrouvait dans des ruines et savait que l’heure avançait. Une aura noir serra son cœur, il devrait assouvir sa soif de violence bientôt. Ses yeux s’assombrissaient lentement, très lentement.

« Tu as raison, je ne devrais pas être ici… » Dit-il en détournant le regard dans une direction d’où on pouvait voir quelques lumières de village.

« Un homme nous a "téléporté", normalement je serais proche d’Irollan, dans un labyrinthe. Phœnix… l’heure avance… »

et que veux tu dire par: devrais pas etre ici je sais qu'on a ete teleporter mais quand meme et pourquoi tu te trouvais dans le labyrinthe il n'y est pas suposer avoir grand monde la aussi.

fael savait qu'il etait un vampire mais pas se qu'il lui prenait les soirs de pleine lune. elle n'avais pas non plus comprit qu'il avait le gout de violance mais a irollan qu'estce qu'il aurait fait. vraiment elle etait de plus en plus perdu

Phoenix fixait toujours son ami. Il l'avait déjà vu à l'oeuvre, mais c'était la première fois qu'ils se retrouvaient dans un endroit désert. La fée n'avait cependant pas une onse d'inquitude dans le visage.
-Et qu'est-ce que tu veux que j'y fasse. Je peux pas voler avec quelqu'un. Le mieux que je peux faire c'est de te trouver des loups à déchiqueter, mais t'en à jamais assez... alors, le problème reste entier.
Quand on y pense, c'était plutot paradoxale comme scène. Slaim dépassait Phoenix d'au moins une tête et demi, et celui-ci lui parlait comme si sut été le contraire. La fée avait les bras croisés, l'air calme. Un demi sourire. Sans explication, même pour lui-même.
Son oeil orangé avait remarqué les quelques changements physique qui commençaient à paraître. Tout pour rappeler que le temps les rattrapait.

Slaim tourna un regard plus noir que l’encre vers Fael alors que la lune commençait à pointer du nez.
« Je ne faisais que passer par le labyrinthe, je n’étais pas sensé y rester! »
Dit-il en serrant les dents.
Il les desserra la seconde suivante.
« Excuse moi je risque d’être un peu sur les nerfs se soir… disons simplement que je passais sur le mur du labyrinthe parce qu’il y a souvent des choses intéressantes à voir, comme deux filles qui veulent s’entre-tuer. » lâcha-t-il avec une pointe de sarcasme.

Slaim tentait de trouver une solution… qui ne semblait pas venir.
Soudain une lumière s’alluma dans son esprit.

« J’ai envie de faire la course jusqu’au village le plus proche… »
Dit-il avec un sourire étrange

Le sourire moqueur qu'il avait habituellement était réaparu. Il ricana un peu, à peine audible. Ouais... une course. C'était tentant. Quoiqu'il n'était arriver de quatre jour de vol que résament.
-T'es vraiment près à tout hein? Mais quand on y pense... la ville la plus proche est quand même loin. De toute façon tu peux pas me rattraper... tu le sais bien.
Il s'éloigna un peu. Les halos d'ombres s'étaient déployé. Il plaça aux côtés de son ami, à une bonne distance.
-Mais si tu insistes. Je peux bien te battre une nouvelle fois. À condition qu'on part et qu'on revienne, parce que moi j'ai un contrat ici. T'auras le temps de t'amuser quand même un peu...

je pense que pour ma par je vais vous laisse faire votre course tout seul je vais aller marcher et peu etre meme prendre mon temps avant de retourner a irollan

elle regarda les deux gars qui devais se preparer a faire la course. vraiment slaim avait changer d'apparence elle venais de le remarquer. peu etre a cause de la lune comme il-dit. peu importe elle partirais quand les deux gars serais en train de faire la course elle navais pas l'intention de rester dans ses ruine une nuit que slaim a le gout de tout démolire elle est assez badloquer pas besoin de plus elle regarda si elle avait tout par chance phoénix ne lui avait rien prit encore.

Des ténèbres d’encres s’abattirent autour d’eux. On ne pouvait voir que cinq oeils qui se fixaient les uns les autres. Slaim sentait son cœur s’assombrire et une voix qu’il n’avait commencer à entendre que récemment lui dire : Combien nous en sacrifieras-tu se soir Slaim… Il y a longtemps que nous attendons… Cette voix avait parler clairement pour la première fois et ce n’était pas au fond de son cœur qu’elle avait parlé mais bien autour de lui. Il était pratiquement certain qu’Océane et Phœnix l’avait entendu comme lui.
Dans cette noirceur où Slaim y voyait comme de jour, il tourna les yeux vers Phœnix.
« Allons-y… »
Et quelques feuilles se soulevèrent à son passage, mais pas un seul bruit de pas ne laissa paraître qu’il avait bougé. Il filait vers cette ville ayant d’avance un goût de tripes sur les lèvres. Il ne savait si Phoenix l’avait devancé ou s’il était derrière. Il gardait les yeux devant.

Slaim le fixait... durant un court instant. Aucun bruit. Même pas un grillon. Même pas de vent. Qu'un silence étrangement calme. Il n'entendit pas la voix. Mais il sut qu'elle parla. C'était étrange. Même la fille devait l'avoir entendu. C'était trop clair. De son oeil valide, la fée l'avait vu cette voix, plus qu'autre chose. Phoenix ne put s'empêcher de sourire. Il fesait peur lorsqu'il était dans cet état. Mais il était également amusant. *Allons-y*
Le vampire parti. Dans le même silence qui rêgnait une seconde plus tôt. La première chose à laquel la fée avait penser, c'était qu'il n'y avait pas eut de décompte, pour tricher. Pas grâve. Il était quand même plus rapide. Il eut le temps de faire un petit signe de main à la fille qui commençait à s'éloigner. Puis, il s'envola. Fendit l'air. Toujours en silence. Seul le claquement du vent. Il avait pris de l'altitude. Assez haut pour voir le village et son ami en même temps. Il n'avait qu'à piquer vers le village pour arriver en premier.
C'était pas vraiment un village de toute façon. Plus une grande organisation agricole. Comme la crise de l'or, mais pour du blé. Peut-être le seigueur avait quelques objets intéressant... Ça risquait d'être amusant cette soirée. Il plongea vers le village. Slaim s'en approchait.
La fée déploya ses ailes à la dernière minute, pour se stabiliser près du sol. Il attendit que son ami passe en-dessous de lui, pour se laisser tomber, comme un oiseau, sur son épaule.

Slaim sentait un sang noir courir dans ses veines et ces paroles si douces qui ne cessaient de se glisser au travers de son âme. Ses yeux n’avait jamais été aussi noirs, aussi ténébreux. Quiconque l’aurait fixé à cet instant aurait senti les tréfonds de son essence être sondé. Slaim avait l’impression de ressentir chaque souffle de vie autour de lui.
* douze lapins, trois chèvres, sept poulets, deux coqs…* Mais ce qu’il sentait plus que tout autre chose grouillait dans ce village… * Des hommes, des femmes, des enfants…*

Toutes les veines de son corps étaient enflées d’une couleur noir qui transparaissait sur sa peau pâle et qui contrastait avec ses cheveux d’un argenté lumineux. Il commençait à voir le monde en cinq dimensions, il voyait ces dimensions distinctement maintenant : Il percevait beaucoup plus que la profondeur, la hauteur ou la longueur…Il ressentait le temps, il percevait les ténèbres qui contrastait avec la lumière, cette balance que tous et chacun essaie de conserver sans le savoir, l’équilibre du monde était filtrer devant ses yeux. Des yeux qui semblait liquide, vivant.

Slaim s’arrêta au moment où il mis les pied dans le village et regarda son ami qui était sur son épaule depuis un moment. Il n’y avait aucune inquiétude sur son visage, pourtant Slaim sentait que quelques chose à l’intérieur de lui-même était différent des autres pleines lunes… peut-être étais-ce lier à cette voix qui lui susurrait…

Bois à satiété, ne te retiens pas, prends tout et ne laisse rien vivre. Cette balance n’a que trop duré. Un peu de sang n’y paraîtra même pas…Bois leurs âme à chacun, nous somme tous avec toi. ALLER! Qu’attends-tu, déchire, broie, éventre, pends les tous par leur tripes il ne mérite pas de vivre…

Il commençait à avoir de la difficulté à parler, ses dents lui faisaient mal réclamant leur dû.
« Phœnix, es-tu certain de vouloir rester et regarder…? »
Il venait de débarquer de son épaule et le regardait, Slaim eu l’impression qu’il hésitait.
Ses mains le démangeaient et ses os semblait vouloir aller dans tout les sens. Il regarda une seconde sa main et vit qu’elle était recouverte de veines aussi noirs que ses yeux.
« Quelque chose est différent… »

fael les avait finalement suivi en cachette le vent avait et face a elle dure a suivre mais en meme temps pratique il n'avais pas pu trahir sa presence. par slaim qui l'aurait sentit. les gars avait arreter dans un petit village de campagne il etait entourer dune minuscule rambarde. il y a avait un arbre a coter, elle s'était donc arreter la dans l'arbre et elle regardais slaim, il avait beaucoup changer elle esperait qui ne détruise pas tout le village cette nuit sinon il y aurait qund meme beaucoup de gens mort et s'était un village plein d'enfant qui d'habitude avait beaucoup de vie. dommage que personne ne puisse le controler ou laider a se controler et phoénix qui etait a coter de lui en esperant quil serais fort lui aussi

Phoenix le fixait. L'air curieux plus qu'autre chose. La tête penché sur un côté. L'oeil orangé pétillant. Il était ridiculement petit dans cette situation. L'autre le dépassant de deux têtes, le regard noir corbeau, plus sombre qu'une ombre, dans lequel il n'hésitait pas à plonger le regard pour tenter de trouver des réponses à ses questions. Rien. Comme un espace rempli de vide. Un vide compacte. Quel magnifique regard. Plus hypnotisant que beau. Mais quand même.
-[color=darkblue]Bien sûr que je reste. T'es pas le seul qui aime s'amuser au dépendant des autres. Et si je suis pas là, qui osera essayer de t'arrêter si tu vas trop loin?[/color]
La fée s'envola. Pour être à la même hauteur que son ami. Il attendit un peu. Slaim semblait désapointé. Aussi blanc qu'un fantôme. Les artères et les veines noires. Comme lui...
-[color=darkblue]Crois-tu que je n'ai pas remarquer. Tu n'as jamais eu la peau aussi blême, ni le sang aussi foncé. Tu me fais penser à un gars que j'ai connu il y a longtemps. Une vraie bête, si tu veux savoir. Mais à te voir trembler... tu n'y penses pas. On dirait que ton corps est trop impatient. Malheureusement, j'en connais pas assez sur l'anatomie des vampires pour savoir ce qui cloche. C'est dommage...[/color]
Il était maintenant derrière Slaim. Son éternelle sourire en coin aux lèvres.
-[color=darkblue]Comme je me connais, je partirais pendant les bout les plus sanglants. Mais... je serais pas loin. Soit pas étonné s'il manque des dents à certaines de tes victimes. Pour l'instant, je suis à côté de toi. Comme les autres nuits. Si ça empire... j'essayerais d'intervenir. Je ne peux pas faire plus....[/color]
Sur ce, il reprit sa place sur l'épaule de Slaim. Peut-être que s'il devenait dangereux il partirait, mais pour l'instant, le phénomène était trop interressant.

(HJ: Phoenix.. penses-tu pouvoir éditer ton texte, ya comme des truc genre [/color] qui font dure xD)

Il sentit son cœur battre plus fort,une symphonie de tambour qui débutait dans son corps. "Je partirai pendant les bouts les plus sanglants…" un sourire coula sur le rebord de ses lèvres.

Slaim ouvrit la bouche en direction du sol. Un souffle noir en sortit, il se répandait sur le sol comme de la noirceur liquide. Rampant sur le sol il et recouvrant tout de son ombre. Relevant la tête il eu un sourire encore plus grand car ce qu’il percevait au dessus de la ville était une aura de mort, l’esprit de la faucheuse était dans les parages attendant que l’œuvre soit faîtes. Il entendit un bruit dans les arbres. Tournant le regard son esprit sonda les ténèbres cherchant une proie. Étrangement et bien heureusement il ne perçu pas Fael qui était caché, mais ce fut un enfant qui passait au pied de l’arbre qu’il perçu. Remplis d’une soif et avide de violence il fixa l’enfant qui s’arrêta de marcher pour regarder l’étrange monsieur. Sa tête éclata, répandant des éclat de cervelle sur les racines qui semblait manquer d’engrais. Slaim eu un spasme comme un début de rire qui s’arrêta lorsqu’une porte s’ouvrit…

( Je sais... mais après deux essaie, c'est rester comme ça, je peux réessayer, peut-être que cette fois)

Son cas s'agravait. Mais, à part le fait qu'il avait vomis de la fumé noire, tout semblait naturel. Dans le sens où un monstre se réveille. C'était soit commun à toute la race qu'au bout d'un moment, les pleines lunes aient cette effet, soit que c'était lui qui n'arrivait plus à contrôler son instinct.
Le vampire ne semblait même plus le remarquer. Il regardait partout, frénétiquement. Comme s'il cherchait désespérément une proie. Il cherchait une proie, ça c'était évident, mais à ses mouvements, celui qui savait regarder remarquait que c'était bien plus qu'un besoin de nourriture. C'était pas un besoin de sang dans le cas où les vampires n e mange que ça, mais un besoin dans le sens qu'il avait besoin d'en répendre partout.
Un bruit derrière. Slaim se retourna presque qu'immédiatemment. Sur son épaule, Phoenix n'eut pas le choix de regarder dans la même direction. Lui non plus ne vit pas Feal. Tous ce qu'il vit, c'était le petit garçon curieux, trop même. Un humain vraisseblablement. De grand yeux noisette. Il devait avoir 10 ans, pas plus.
Slaim s'élança. La fée le laissa faire. Il s'était seulement envoler pour rester sur place pendant que son ami écrasait le crâne du gamin sur le sol. Phoenix s'approcha lentement, toujours dans les airs, à la même hauteur que le visage de son ami.
-C'est ton seul problème ça... il faut toujours que tu soit aussi rustre dans ta façon de tuer...
Slaim commença à rire doucement. En fait, il sembla rire. Homnubiler par son petit carnage, qui n'allait que grandir dans les prochaines minutes.
Soudain un autre bruit. Une porte. Peut-être la mère. La fée recula un peu, pour se retourner. Une femme, les yeux épouvantés, dans le câdre de porte. C'était peut-être la mère, mais ce qui était sûre c,est qu'elle avait tout vu. Phoenix lui offrit un magnifique sourire. Sachant que ce serait peut-être la dernière chose qu'elle verra.

Slaim releva la tête et regarda la dame qui le rivait d’un regard d’épouvante. Son corps le faisait souffrir, lui en demandant plus, plus vite. Il était peut-être brute sur les débuts, mais il allait montrer à Phœnix qu’il pouvait se contrôler un minimum. Sans regarder son ami : « Moi, un rustre… » ce fut tout ce qui glissa hors de ses lèvres alors qu’il marchait vers la probable mère de l’enfant éclaté. Elle ne bougeait pas, seul sa bouche semblait vouloir parler alors que ses yeux fixait ceux de Slaim. Elle était habillé d’une robe de nuit couleur bleu ciel. * Étrange couleur pour un village aussi écarté* La vapeur épaisse et noir qui courait sur le sol semblait le devancer pareillement à la mort choisissant ses futures morts.

Alors qu’elle le regardait il disparut de sa vu. Elle senti un souffle sur son cou et une voix sombre lui souffler : « Pardonnez moi car j’ai péché… et je vais recommencer… »
Elle perçu deux aiguilles se planter à hauteur de son oreille gauche.

Slaim voulait y aller doucement sur celle-ci mais ses dents furent plus vite que lui. Elles glissèrent d’un coup sec du haut de l’oreille gauche, en passant par la jugulaire, jusqu’à l’épaule en déchirant un peu le vêtement. Un autre spasme d’hystérie secoua Slaim alors qu’il la regardait…

Elle senti quelque chose gicler hors de son cou. Elle mis sa main pour se rendre compte qu’elle se vidait de son sang à une vitesse ahurissante. Elle fut prise de panique et se mise à courir dans le village en hurlant. Ce qui ne dura que quelques secondes sembla durer des heures tandis qu’elle essayait d’appeler à l’aide tout en répandant son être sur le parterre de sable et d’herbe qui brillait sous les reflets de la lune.

La ville était maintenant recouverte d’une bulle noir qui ne laissait filtrer que la lune, une bulle plus noir que l’ombre de la mort. Slaim riait à plein poumon alors que des portes s’ouvraient une par une. Il tourna les yeux vers Phœnix : « Étais-ce moins… rustre? » dit-il en se retenant de rire un moment.

Son oeil gauche ne le quitta pas. Il le ragarda s'approcher de la femme. Lorsqu'il disparu derrière elle, il ne le vit pas, mais puisqu'il connaissait les mouvement des vampires, il suivit ce qui aurait pu être sa course. Il se pencha vers elle. Puis demanda pardon. Phoenix éclata de rire. Slaim demander pardon. Dommage qu'il ne pouvait pas immortaliser ce moment. Il riait alors qu'il était toujours dans les airs, les mains sur le ventre. Il en avait la larme à l'oeil. Il riait toujours lorsque son ami tremcha la peau de la femme. Lorsqu'elle tenta de crier. Il commença à se calmer, lorsqu'elle couru.
Puisqu'il était sur son chemin, elle s'arrêta devant lui. Il ne riait plus. Se contentait d'afficher son sourire moqueur. Cette petite étoile appeurée dans ses yeux. Elle commençait à trembler. Ce regard qui inspirait de la pitié. Sa lèvre inférieure qui semblait hésiter. Il ne bougea pas. Elle l'amusait. La crainte dans ses yeux marrons. Désespoir. Quel beau sentiment à contempler. Voyant qu'il ne réagissait pas, la femme couru. Elle parti vers le village. Trébucha à cause du sable. Se releva péniblement. Continua sa course. Plus lente qu'à son départ. Sans un regard derrière elle. Ses mouvements étaient sacadés. Déséquilibrer. Poussant des cris de moins en moins audible. Bientôt, on entendit plus rien. L'oeil orangé de la fée revint sur son ami.
*Était-ce moins... rustre?*
-C'est mieux, c'est vrai. J'ai bien aimé ta petite touche sentimental... quel acteur! J'aurais bien aimer puvoir voir jusqu'où tu l'as écorchée. Ce qui est sûr, c'est que si elle n'est pas morte, elle le sera bientôt. Sinon, la seule chose que je peux te reprocher, c'est que tu l'as laisser partir. Peut-être qu'elle va réussir à alerter quelqu'un, alors adieu la surprise. C'est pas grave, mais tout de même facheux.
Il leva le regard. Pris un peu de hauteur. Vers la fenêtre, fermée par des volets. Il approcha son oeil gauche d'une des fentes du bois. Voir s'il y avait quelqu'un d'autre. Sûrement. Du moins, quelque chose.
-Ils doivent avoir de jolies choses, si on se fit à ce que la femme portait. Je veux aller voir. De toute façon, il ya personne. Ils doivent tous être en bas. Alors, je regarde en haut, tu t'amuses en bas. On se retrouve à l'étage.
Il sortit une aiguille du lacet autour de son bras. Au cas ou... Il ouvrit le volet, puis passa la tête à l'interrieur.

fael avait failli lancer un petit cris quand le cerveau de l'enfant avait eclater elle etait scandaliser mais nossais bouger elle avait failli se faire voir pas slaim et phoénix mais elle avait utiliser sa magie en bougeant un branche qui la cachait maintenant mais elle pouvais tout voir quand meme l'ombre qui recouvrais maintenant tout le village lui donnais la chair de poule elle etait sur que si elle essayerais de partir elle ne pourrais pas acause de celui ci

¨je me suis encore mis dans le petrain je crois¨

Deux, trois, cinq portes s’ouvrirent en même temps laissant trois hommes et deux femmes en sortirent. Ils étaient tous habillé comme s’ils sortaient du lit. Tournant les yeux vers la femme dont on voyait encore le sang qui peignait la mort su le sable.

Dans le corps de Slaim tout vibra plus fort. Tournant les yeux vers la lune il l’entendait battre dans son cœur, une pulsation presque humaine. Une voix enchanteresse qui lui glissait d’une douce main tout les malheurs du monde. Il cru voir une ombre se profiler sous ses yeux, celle d’une femme habillé d’un noir aussi vaporeux que son souffle qui continuait de recouvrir chaque centimètre autour de lui. Elle était belle, belle comme son âme qui vibrait d’une sombre lueur. Slaim sentait ses os qui lui donnait l’impression qu’ils allaient briser, exploser et ses dents… Il ne savait même plus s’y s’en étaient encore.

Elle le regarda dans les yeux semblant apprécier cette lueur qui en émanait. Elle sentait vibrer en lui se pouvoir qu’elle attendait depuis longtemps. Il était prêt, prêt à lui obéir.

Slaim sentit des lèvres se poser sur les siennes, de lèvres qui goûtaient les ténèbres. Il ne bougeait plus, ne voulant pas qu’elle se retire, mais elle le fit avec un sourire, le regardant. Elle se rapprocha de son oreille et lui glissa :

Se village… offre le moi, offre le aux ténèbres et ton cœur en deviendra le gardien…

Elle se rapprocha de lui jusqu’à toucher sa peau, elle pénétra en lui. Il l’entendit dans sa tête. Je suis là depuis toujours, avec toi depuis longtemps et avant même que tes frères ne te trahissent j’étais là tout près de ton cœur si sombre et si froid… j’y suis si bien.

Le monde se transforma dans ses yeux, il le perçu aussi liquide qu’un océan. Il tourna le regard vers les villageois qui n’avaient toujours pas bouger… ou bien étais-ce lui qui les percevait aussi immobile. Il voulu avancer mais senti une résistance anormale. Voulant s’en débarrasser il poussa plus fort. Tout son corps se déchira et ses veines, qui pulsaient depuis un moment déjà, grossirent en même temps que ses os et son corps. Ses mains s’élargirent et il sentit ses dents qui grandissaient. Ce n’était plus deux dent qu’il avait mais six qui semblait avoir la force de manger le roc.
Cette nouvelle force qui coulait en lui le rendit presque fou un moment et au cœur de son euphorie il frappa l’air d’une main. Le sol en trembla et cinq marque apparurent sur le corps de l’homme se tenait plus proche que les autres. Slaim ne semblait plus bouger, il semblait apparaître à chacun de ses pas. Il prit l’homme dont les yeux s’étaient écarquillé en voyant les marques rouges sur son corps. Lui tenant d’une main le cou et de l’autre les pieds il le brisa en deux puis laissa ses dents le déchiqueter faisant gicler le sang sur sa femme qui était derrière lui et qui ne disait rien. Le temps ne semblait plus avoir d’importance au yeux de Slaim…

Phoenix n'avait pas vu toute l'action. Pendant les secondes où Slaim sombrait, lui, il était en recherche de trésor. Pendant ces secondes, il avait fait l'inventaire de la grande pièce, trouvé quelques morceaux de pierres, et constaté qu'il n'y avait pas grand chose... C'était décevant. Il aurait pu trouvé des économies, des bijoux. Mais il fallait s'y attendre. Un village agricole. Il n'y a jamais rien de très coûteux dans ces villes.
Puis il interropit sa réflexion pour tendre l'oreille. Au milieu des respirations inquiète ou interrompues, il y en avait une qui laissait échapper des brides de voix. Comme de petits couinements étouffés et inaudible. On aurait pu croire qu'il s'agissait de peur, mais la fée capta plus de douleur (on peut pas déchirer sa peau sans avoir mal ...) . Toujours aussi rapide, elle se précipita à la fenêtre, pour voir dehors. Rien. Il s'envola à l'exterrieur.
Slaim était dans la maison. Différent. Phoenix ne vit pas les victimes, tuées de façon de plus en plus atroce. Il ne fixait que le corps de son ami. Des mouvements plus rapides, plus précis. Des mains disproportionnées. Sa marchoire avait subit le même sort, pour laisser l'espace aux six crocs immenses qui y étaient apparu. Le plus intéressant n'était pas là cependant. C'était ses yeux. Aussi noirs que les dernières pleines lunes, mais cette fois-ci, même le blanc de son oeil semblait sombre. Vraiment, plus ça avançait, plus il ressemblait à l'autre. Bien que l'autre ne changeait pas physiquement. Les métamorphose de Slaim lui serait bien aller. Phoenix s'en amusait.
Un nouveau sourire apparu sur ses lèvres. Il attendit que son ami finisse sa besogne. Pris même le temps de s'amuser de cette comparaison entre le meutre et un travail. Il rangea l'aiguille qu'il avait pris. Puis attendit. Toujours en flottant au-dessus du sol. À peine un mètre. Pas un regard au sang de la fille, ni même au cerveau du garçon. Son oeil orangé figé sur le vampire. Fasciné.

Là au beau milieu de se village fantôme, apparue deux inconnus...La jeune femme avait complètement oublier de se changer et était rester en simple sous-vêtement. Avant de sortir de cette petit maison abandonnée, regarda un peu autour d'elle puis vu Yann dans un coin.

-Oups désoler ! Parfois la téléportation est brusque quand je suis stressé...J'ai complètement oublier de prendre ma robe. Avait-elle dit en riant légèrement. Puis elle soupira et claqua des doigts, une légère brume l'entoura alors pour redescendre après quelque seconde laissant apparaître la jeune femme dans une magnifique robe simple et moulante d'une teinte bleu nuit.

-Voilà ! dit-elle doucement en tournant sur elle même. Sùmalee sursauta alors en entendant tout le vacarme dehors, on aurait dit qu'une armée avait débarquer pour terroriser les gens à l'extérieur. La voleuse s'approcha de Yann mais en s'approchant s'aperçu que celui-ci sombrait dans l'inconscience, elle sourit puis doucement elle l'habrilla de sa cape.

-Mon pauvre Yann...reste ici je reviens tout de suite. Dit la fée en se dirirgeant ensuit vers la sorti. Lorsqu'elle sorti dehors elle s'arrêta aussitôt de marcher...

-Mais qu'es ce... La jeune femme fut plutôt ébranler devoir se spectacle étrange, elle s'avança vers un homme qui accouru dans sa direction en criant. Sùmalee l'arrêta aussitôt, mais l'homme la pris par les épaules la regardant de la tête au pied elle qui était encore tout trempé, les cheveux mouillée et légèrement écheveler, il pouvait lire la surprise dans les yeux de la jeune femme.

-Ne rester pas ici ma petite demoiselle ! Le diable, le diable est dans la ville et commence à faire son carnage, c'est l'apochalypse !!! Allez vous cachez ! dit alors le vieil homme en l'observant dans les yeux. Quelque seconde passa, Sùmalee lui fit un léger signe de tête. Le viel homme lui pointa alors au loin puis la laissa toute seul et parti à courire se cacher.

La voleuse resta passible, croyait-il vraiment qu'elle allait rester Phoenix seul ici dans se carnage ? La jeune femme secoua la tête puis commença à avançer en direction du village en cherchant Phoenix.

-Phoenix ?...dit-elle d'une voix forte. Mais rien...

-Phoen...la jeune femme s'arrêta brusquement de marcher en voyant cette horreur à ses pieds. Se petit corps innanimé et sans tête. Sù porta une main à sa bouche l'air plutôt hébaillit. La jeune femme ne vit pas le reste du carnage, seulement se corps d'enfant qui broullait sa vision autour d'elle. Tuer un enfant ? Qui avait tuer un enfant ? Qui était cet idiot qui avait osé tuer un jeune garçon...Le regard de la voleuse se détourna l'air dégoût puis ses yeux fut alors attiré vers lui. *Phoenix*, la voleuse le vu lui, le pire s'était l'expression sur son visage, un air plutôt admiratif envers toute cette scène ou peut-être vers celui qu'il regardait. Sùmalee ne savait aucunement se qui s'était passer, mais une chose certaine c'était que le mal régnait et le regard de la voleuse s'assombrit subitement. La jeune fée le fixait lui d'un air mauvais et le croyant complice elle tourna les talons puis marcha en direction opposé du village d'un pas rapide.

Sùmalee était peut-être chaotique, mais tuer les gens sans raison et surtout les enfant la dégoûtait au plus au point et ils venaient tout juste de lui prouver qu'il n'était qu'un simple tueur. La fée ne regarda pas autour d'elle, elle avançait rapidement ignorant tout sur son passage...Fini le trésor, elle allait le brûler si il le fallait ! La jeune femme sortit de ses poches la carte puis l'observa un moments, dans sa mémoire elle grava tout se quelle pouvait et déchira en mille miette ce parchemin si précieux.

-On crois tomber sur un simple voleur, quelque heure après c'est un vrai tueur !

La fée fut alors rendu à quelque pas du village, elle arriva enfin à la petite cabane abandonné mais fut alors surprit de voir la porte barré d'un gros cadenas...La jeune femme regarda par la fenêtre, elle n'y voyait rien, que s'était-il passer ? Le coeur de la jeune femme fit un seul bon, elle regarda à ses pieds et trouva un hache qu'elle pris dans ses mains automatiquement. Puis la hache fendit l'air atterrissant sur le cadenas qui ne céda même pas, elle recommença mais sans succès.

-Haaa ! merde ouvre toi ! La jeune femme commença à varger à coup de hache sur le cadenas mais celui-ci ne céda pas. Sùmalee recula d'un pas se passant la main dans ses cheveux mouillées essayant de comprendre se qui pouvait se passer...Yann semblait toujours à l'intérieur où peut-être pas, il ne montrait aucun signe de vie. La jeune femme cogna un sevond coup puis le cadenas céda...Elle ouvrit vite la porte et entra, la jeune femme perçu Yann toujours étendu. La voleuse s'en approcha, caressa son visage puis sourit. Elle ferma les yeux, puis encore une fois il disparure de cet endroit sombre enssemble.

(Yann, tu viendras me rejoindre dans l'autre ville juste en haut de celle-ci.)