Poignard (Aiia+Rahjuu)

Lynx avait tranversé la moitié de la ville. L'extrême Est de la cité, c'était avérée moins modeste. Moins sale. Tout aussi froid. Le vent avait cessé, mais l'air était toujours glacial. La neige tombait lentement, sans qu'elle n'y prète attention. Elle avançait du pas décider, mais lent, sur la neige déjà piètinée par les nombreux passants de la journée. Longue nuit. Il était plus que tard.
La forge était une petite batisse. Semblable à une chaumière. Différente des autres uniquement par la chaleur étouffante qui s'en dégageait. Une porte en bois lourd, une large cheminée. Elle entra sans même s'arrêter.
Le changement radical de température ne la fit même pas cier. Une chaleur tortueuse, presque insuportable.
Un noir qui aurait été complet, si le foyer n'aurait été ardent. Illuminant la pièce d'une lumière rougeâtre, créant une ambiance presque démoniaque. Enclume, outils, fers... Lames... Tout semblait trainer. Sans que rien ne semble en désordre.
Traîtresse s'approcha des armes sur le mur. Épées, lances, haches, dague, poignard, pinte de flèches. Elle tendit la main. Caressant des doigts la lame d'un poignard en argent incrusté de minuscule saphir. Les yeux grand ouverts. Avide curiosité.

Le forgeron de la ville la regarda rendré, il s'était assis sur son tabouret et regarda Aiia rentré. Il la vit, regarder les armes avec un regard qui en disait long, très long. Elle finit par s'arrête devant un de poignard d'argent, une arme délicate, mais extrêmement meurtière, spécialement sur un lycan. La lame, tranchante au poing que même de l'acier aurait put être couper avec cette lame au main du forgeron. Ne fesant de bruit il se leva de tout sa grandeur et splendeur, et avec un silence total s'approcha de la demoiselle. D'une voix douce, il lui souflla:

- Votre instint vous porte devant cette dague à ce que je peux voir milady, vous avez du goût je dois vous avouez, mais êtes la première à désiré cette arme. Chaque arme ici est faites selon une personne, jamais faite pour une raison inutile. Cette arme vous est surement destinée. La désiré vous?

Il savait déjà qui elle était, son aura l'avait trahi, et ses connaissances à lui du monde entier lui avaient dévoilé l'identité de sa cliente. Ses pensées a elle lui étaient ouvertes, mais par simple respect, il ne les lisait point.

Aiia continua sa contemplation. Sans même signifier à l'ange derrière elle, qu'elle l'avait entendu. Elle n'avait pas réagit non plus lorsque sa voix avait percé le silence. Ses doigts continuèrent de lisser la lame. Ses immenses yeux, toujours épuisés, semblaient éluminés. Double tranchant, solide, fondue dans l'argent.
-Je ne crois pas au destin...
Délicatement, elle prit l'arme entre son index et son majeur. Le tint un instant devant elle. Avant de le remettre sur son support.
Elle ne lui avait rien ouvert. Il n'avait que passé par différent du sien. Un pouvoir différent, le même résultat. Elle avait déjà lu cela quelque part. Il n'y avait pas de présence, ni de pression. Il n'avait pas besoin de suivre les pensées pour trouver une information. Il restait sur le seuil de son esprit tout en entendant ses murmures. Traîtresse n'avait pas besoin de projeter son esprit pour savoir qu'il y avait milles fissures et aucune qui ne la laissera passé. Elle fit taire le sien. Ne laissa que ses pensées désordonnées, comme à leur habitude. Curieuse de la suite.
-Interessante votre façon de percé les gens...
Sans se retourner. Le regard admiratif toujours posé sur les lames. Désinteressé désormais du premier poignard.

L'ange ne bougea point, il resta la à regarder Aiia. Il la trouvait mystérieuse a sa façon et plutôt froide, mais il avait connu pire par le passé. Aiia regardait ses armes a lui d'un air émerveiller les différentes armes suspendu, ou même déposé sur des étagères faitent juste pour l'occasion. De sa voix habituelle, il lui répondit:

-Le destin existe en plus prononcé chez certain être que sur d'autre, Chacun a un destin qu'il sois déja établi ou que l'individu doit le créer lui même. Et la méthode qu j'utilise pour vous percé n'est pas si différente de celle que vous employer vous même à l'habitude, malheureusement en se moment mes pensés présente ne vous seront guère très intéressantes si vous parveniez à franchir ma barrière mentale, chère Aiia, plus souvent reconnu sous le nom de Traitresse.

Il se déplaça gracieusement et suivait sa cliente ou plutôt son invitée temporaire car leur discussion, malgré le peu de mots prononcé de la part de Aiia, dont l'esprit s'était refermé complêtement. Il était proche de la dame et les plumes de ses ailes pouvait chatouiller légèrement la peau délicate de Traitresse

Son regard était toujours perdu sur l'éclat des armes. Ses yeux gris semblaient toujours vides et son visage semblait toujours recouvert de givre, malgré la lumière orangée qui réchauffait sa peau. Lui donnant presque l'apparence d'être vivante.
Elle n'accorda aucune attention à son interlocuteur. Pas même lorsqu'elle sentit le frolement des plumes sur son bras. Elle ne frémit même pas.
-Ne prononce pas ces noms... ils sont tous maudit... Peut-être que quelqu'un de plus puissant que vous nous espionne... mais... l'important est de rester discrète... Peut-être que cet être qui nous entendrait serait le destin... ou un de vos amis...
C'étant restrinte, Lynx se contentait de dire ce qu'elle voulait insinuer. Bien qu'il s,agissait d'un terrain un peu moins confortable pour elle. Mais, elle avait confiance en ses capacités. Au lieu d'imposé ses certitude, elle dut simplement les dire.
Elle venait de voir un moment.
Ses yeux furent attirer par un autre éclat. Moins brillant. PLus attirant que l'autre. Elle pivota sur elle-même. Longea le mur, suivit du bruit humide que fesait sa robe contre le sol. Lente, Aiia se pencha, en penchant la tête sur la gauche. Un poignard plus fin, plus mince. De chène et d'acier. Moins long. Aucune fragilité.
-Combien pour lui?